oct 11, 2017

Gestion de projets de développement : INSCRIVEZ-VOUS

Gestion stratégique de projets de développement  aura lieu au mois de novembre au Graduate Institute à Genève (13-18 novembre).
N’hésitez pas à vous inscrire si vous souhaitez acquérir de nouveaux outils de gestion  et de réflexion pour mieux agir sur le terrain !

Si vous avez des questions ou si vous souhaitez avoir davantage de précisions sur le contenu du cours, vous pouvez me contacter au 0041 79 242 26 16  ou à l’adresse mail suivante : dominique.rossier@graduateinstitute.ch

oct 9, 2017

Conférence M2 Droits Africains – Le droit de l’intégration africaine..…

L’Institut de recherche en droit international et européen de la Sorbonne (IREDIES) et le Laboratoire d’Anthropologie juridique de Paris (LAJP) ont le plaisir de vous annoncer la reprise des Conférences-débats du Master 2 Droits africains de l’Ecole de Droit de la Sorbonne – Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Conférence de Mutoy MUBIALA, Human Rights Officer, Africa Section II, Office of the High Commissionner for Human Rights : « Le droit de l’intégration africaine entre régionalisme et sous-régionalisme ».

Discussion de Laurence BURGORGUE-LARSEN, Professeur à l’École de droit de la Sorbonne.

Date : Mercredi 18 octobre 2017
Heures : 18h à 20h
Lieu : Amphithéâtre Dupuis, Centre Malher, 9 rue Malher – 75004 Paris

Inscription gratuite obligatoire : https://www.univ-paris1.fr/diplomes/master-2-droits-africains/formulaire-inscription/inscriptions/

oct 6, 2017

Appel à communications : Association Tiers Monde : XXXIVèmes Journées ATM Grenoble 2018

L’Association Tiers Monde lance un appel à communications pour  les :  34èmes  Journées ATM  qu’elle organise à Grenoble aux 30-31 mai et 1er juin 2018 .

Pour plus d’informations, voir : 34e Journées du développement INSCRIVEZ VOUS

 

oct 6, 2017

Bulletin de veille n°315 : inter-réseaux développement rural

Nous avons le plaisir de vous faire part de la publication du : bulletin de veille n°315 : inter-réseaux développement rural

Pour plus d’informations, voir : http://www.inter-reseaux.org/

oct 6, 2017

Bulletin de veille n°321 : inter-réseaux développement rural

Nous avons le plaisir de vous faire part de la publication du : bulletin de veille n°321 : inter-réseaux développement rural

Pour plus d’informations :  http://www.inter-reseaux.org/

oct 5, 2017

Semaine de la mobilité européenne et internationale des jeunes

La Région Hauts-de-France organise la Semaine de la Mobilité Européenne et Internationale des jeunes, qui aura lieu du 13 au 21 octobre.

Quatre dates importantes à retenir !

  • Le 13 octobre à Lille au siège de Région, 151 avenue du Président Hoover, de 14h00 à 18h30.

Le célèbre forum Cap sur le Monde revient cette année au Siège de Région et sera une occasion pour les jeunes de rencontrer des structures spécialistes de la mobilité ! Au programme, des stands, des conférences et des témoignages.

  • Le 18 octobre au lycée Camille Claudel, 1 rue Paul Lafargue, 59610 Fourmies, de 09h00 à 12h00.

Lianes coopération co-organise, en soutien à la Région, une rencontre à Fourmies, destinée aux jeunes et aux encadrants jeunesse. Après une ouverture officielle par le Conseiller Régional Mr Castiglione, vous pourrez écouter des témoignages de jeunes partis en mobilité dans le cadre de différents dispositifs, et des structures les ayant accompagnés.

  • Le 20 octobre au lycée Léonard de Vinci, 1 Espace Jean Guerland, 02Soissons, de 09h00 à 17h00.

Lianes coopération, en lien avec le lycée Léonard de Vinci, la Dareic et la plateforme de mobilité de Picardie, organise une rencontre dans cet établissement scolaire. La matinée sera consacrée aux témoignages de jeunes, «  Les élèves parlent aux élèves », tandis qu’une conférence sur la mobilité apprenante des jeunes aura lieu l’après-midi.

  • Le 21 octobre à Amiens à l’espace Dewailly, 3 place Louis Dewailly, de 11h00 à 22h00.

Un forum d’échanges et de stands pour rencontrer les structures de la mobilité. ESN, qui clôture son tour de France de l’Erasbus, donnera une conférence l’après-midi. Cette semaine de la mobilité se terminera en musique avec un concert de MB14 !

ATTENTION : Pour participer à ces manifestations, vous devez impérativement vous inscrire via le lien suivant : http://generation.hautsdefrance.fr/cap-sur-le-monde-2017/ et vous munir d’une pièce d’identité.

Vous trouverez le programme détaillé de la manifestation en détail, ainsi que les visuels : http://lianescooperation.org/wp-content/uploads/Programme-Cap-sur-le-monde-Semaine-de-la-mobilit%C3%A9-europ%C3%A9enne-et-internationale-des-jeunes.pdf

oct 5, 2017

Rencontre : « État délégitimé, prédations foncières au Mali : des pistes pour sortir de l’impasse »

La Fondation Gabriel Péri a le plaisir de vous inviter à une rencontre qu’elle organise autour du thème : « État délégitimé, prédations foncières au Mali : des pistes pour sortir de l’impasse. »

Jeudi 12 octobre 2017, 18h-20h
À la fondation Gabriel Péri
Tour Essor, 22ème étage, salle de réunion
14, rue Scandicci, 93500 Pantin
Métro 5 : Hoche
Entrée libre. Le nombre de place étant limité, merci de vous inscrire par mail en cliquant sur le lien inscription@gabrielperi.fr

Présentation

Depuis 2012, l’insécurité persiste au Mali. Si l’occupation par les groupes armés rebelles et islamistes a été endiguée au nord, la région de Kidal demeure toujours le théâtre d’affrontements entre groupes armés indépendantistes et milices d’autodéfense qui reconnaissent l’autorité de Bamako et sont hostiles à toute forme de partition du pays. Des groupes extrémistes liés au terrorisme djihadiste ont étendu leurs actions à l’ensemble du territoire malien.

Le dispositif sécuritaire formé par la force française barkhane, la force onusienne de la Minusma et l’armée malienne est sous le feu des critiques. Des tentatives régionales sont en cours pour répondre à la prolifération des organisations terroristes dans le cadre d’un G5 Sahel signant l’échec des mécanismes préexistants, comme le CEMOC.

Conclus au printemps 2016, les accords d’Alger n’ont pas créé les conditions d’un retour à la paix sur le terrain. Dès le départ, ils ont été perçus par beaucoup comme imposés de l’extérieur, faisant la part belle aux velléités indépendantistes, tout en renonçant à traiter des questions de fond qui minent la société malienne : crise politique, démocratique et institutionnelle, captation des richesses par des minorités au nord comme au sud, impunité, trafics illicites qui alimentent l’insécurité et les rivalités.

Comment regagner la paix dans de telles conditions et alors que le régime politique de Bamako, le président et son gouvernement mécontentent la population malienne ? En place depuis les élections présidentielles de 2013, ils ne sont parvenus ni à rétablir la sécurité et ni à relancer le développement. La colère des populations semble s’être cristallisée dans l’opposition à la révision constitutionnelle qui devait être soumise par référendum cet été. Face l’ampleur d’une contestation spontanée mais aussi organisée, celui-ci n’a pas eu lieu. Le pouvoir en sort encore affaibli.

Dans ce contexte mouvementé, les grands enjeux structurels sont laissés de côté, au premier rang desquels la question foncière jugée pourtant comme prioritaire dans la résolution des conflits, et qualifiée de bombe sociale à retardement.

Pour nous éclairer sur ces questions, la fondation Gabriel Péri a le plaisir de recevoir deux invités : Issa Ndiaye, philosophe, professeur des universités, président du Forum civique, et Michèle Leclerc-Olive, chercheure au CNRS, qui présentera l’ouvrage Anthropologie des prédations foncières. Entreprises minières et pouvoirs locaux, publiée sous sa direction aux éditions des archives contemporaines en 2017.

oct 5, 2017

Symposium international : « Manger en ville » – Paris

Nous avons le plaisir de vous informer qu’un Symposium international autour du thème : « Manger en ville. Regards socio-anthropologiques sur les styles alimentaires urbains en Afrique, Amérique latine et Asie » aura lieu à Paris, OCHA, 4 & 5 décembre 2017.

Dans 15 ans, les villes d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie représenteront près de la moitié de la population mondiale et plus de 80 % de la population urbaine. Que mangeront-elles ? Leur alimentation aura-t-elle convergé vers un modèle dit « occidental » à l’issue d’une « transition nutritionnelle » vers des régimes plus riches en produits animaux, en graisses, en sucres et en produits transformés favorisant l’obésité et autres maladies ? Les produits locaux auront-ils disparu ou se seront-ils standardisés sous l’effet de l’industrialisation de la transformation et du développement des supermarchés ?

Aux échelles fines d’observation des consommations, des pratiques et des représentations, les approches socio-anthropologiques invitent souvent à des visions plus nuancées qui révèlent les capacités d’appropriation, de détournement et d’inventions soumises à des influences externes. Elles révèlent une pluralité de trajectoires dans les changements alimentaires.

Ces deux premiers jours, ouverts à un public scientifique sur inscription, mettront en discussion les résultats d’enquêtes de terrain dans les villes africaines, asiatiques et latino-américaines menées par des socio-anthropologues de ces villes ayant répondu à un appel à communication. Le symposium est ouvert à d’autres chercheurs de ces disciplines sur demande.

Inscriptions ouvertes début octobre sur : http://www.lemangeur-ocha.com/  et http://www.chaireunesco-adm.com/

sept 29, 2017

7e Journées petites paysanneries : « Les petites paysanneries des arrière-pays montagneux et forestiers au nord et au sud de la Méditerranée. Contextes, contraintes et stratégies »

Le groupe petites paysanneries a le plaisir de vous annoncer qu’il organise les 7e Journées petites paysanneries autour du thème  : « Les petites paysanneries des arrière-pays montagneux et forestiers au nord et au sud de la Méditerranée. Contextes, contraintes et stratégies »

Dates :  18-20 oct. 2017, Marseille

ENTRÉE LIBRE, INSCRIPTION OBLIGATOIRE

Argumentaire

Les arrière-pays montagneux et forestiers méditerranéens, lieux d’ancrage de petites paysanneries (PP) séculaires aux marges des centres du pouvoir, ont historiquement constitué des lieux de refuge pour les populations chassées des plaines, les exclus, les damnés et les rebelles à l’affut de moyens de subsistance et de résistance (Braudel, 1966 ; Debarbieux, 2001). De nos jours, les PP montagnardes et forestières, plus composites et de plus en plus intégrées aux entités nationales, souffrent, paradoxalement, de l’excentricité géographique et de la marginalité économique et sociale. Or, au-delà de la diversité des milieux physiques, culturels et des rapports tissés avec les avant-pays urbanisés, ces mêmes sociétés développent des pratiques adaptatives fondées sur des logiques spécifiques qui restent malgré tout exposées à des risques et à des incertitudes multiformes, que la politique publique n’arrive pas à endiguer.

  • Contraintes physiques vs pluriactivité et plurifonctionnalité

Dans ces milieux, les pratiques agropastorales sont soumises à de multiples contraintes physiques (orographique et bioclimatique), humaines (migrations temporaires ou définitives), parfois à l’ensauvagement de la nature (faune sauvage en surpopulation, déprise agricole).

Longtemps négligées par les politiques publiques au Sud, ces zones, sont souvent associées dans les représentations collectives à la misère et au sous-développement, et désignées par les statistiques comme des espaces répulsifs et comme le principal réservoir de la pauvreté. Les politiques publiques dites participatives qui leur sont destinées, sont imprégnées de l’idéologie de la conservation de la nature et souvent peu soucieuses des enjeux sociaux et des conflits entre les paysanneries nés des multi-usages de l’espace (Aderghal, 2004, 2007). Au nord, malgré les divers dispositifs incitatifs (locaux, nationaux et européens), les arrière-pays montagneux et forestiers continuent à se « dévitaliser » et s’ensauvager.

Face aux contraintes, les PP déploient des stratégies pluriactives combinant la diversification agricole, l’artisanat et les commerces. En réponse à la demande de nature des citadins mus par un éthos écologisant (Saïdi, 2012) et encouragés par divers fonds incitatifs, on a vu se développer, à des degrés variables, de nouvelles formes de tourisme à la fois génératrices (directement ou indirectement) de sources additionnelles de revenu (emplois et services), et reposant sur la valorisation du patrimoine matériel et immatériel local. Le tout accompagné par de plus grands efforts publics d’investissement infrastructurel et d’accompagnement socio-économique.

  • Conflits d’usage et marchandisation vs solidarités paysannes et innovation

La pluriactivité et la multifonctionnalité constituent un levier déterminant pour le maintien sur place des familles paysannes. Ces stratégies se heurtent néanmoins à de sérieuses contraintes au premier rang desquelles figurent les conflits d’usage et d’appropriation des ressources.

Sur la rive Sud de la Méditerranée, les PP se heurtent depuis plus d’un siècle à l’appropriation légale de la forêt par l’État. Ce dernier, se dotant d’une législation restrictive et coercitive (codes forestiers hérités de la période coloniale), continue d’assimiler, depuis un siècle, les « populations locales » à de simples « usagers ». Dans certains cas, le service forestier n’hésite pas à salarier saisonnièrement la main d’œuvre locale et à mobiliser des dispositifs sociaux publics et caritatifs, dans le but de maintenir les familles sur place (Boujou et Saïdi, 1996 ; Gardin, 2004) afin de satisfaire les besoins de l’exploitation monopolistique des ressources forestières, de l’entretien des forêts et de la lutte contre l’érosion. En France, où la législation forestière est plus lâche et le monopole étatique moins exclusif, les nouvelles dispositions législatives sur les feux de forêt semblent constituer une sérieuse entrave à la viabilité de l’élevage de montagne (Vilain-Carlotti, 2015). Les conflits d’usage divisent parfois les PP : il s’agit des sempiternels antagonismes entre agriculteurs et éleveurs (sédentaires ou en voie de sédentarisation), ou encore de la traditionnelle concurrence des éleveurs autour des ressources pastorales, qui s’accentue lors les périodes de sécheresse (Rosenbeger, 2001 ; Noin, 1970). Récemment, l’engouement des citadins pour la nature, concomitamment à la mobilisation mercantile de l’écologie, la « mise en tourisme » (et/ou la « touristification ») des territoires, ont souvent accentué la concurrence entre les familles paysannes. Les promoteurs immobiliers et touristiques, pour la plupart extérieurs au monde agricole et parfois étrangers, prompts à transformer les terres agricoles et les pâturages collectifs en complexes touristiques, constituent aussi une sérieuse menace. D’espaces agricoles pauvres et arides, certains arrière-pays montagneux et forestiers en France et en Europe méditerranéenne, se transforment ainsi en espaces de rente foncière.

Jusqu’à aujourd’hui, ni les conflits d’usage, ni les compétitions, pas plus que la logique marchande invasive n’ont a priori réussi à déstructurer complètement les PP des arrière-pays montagneux et forestiers (à l’exception notable de la Corse et de la Sardaigne), car les formes nouvelles et traditionnelles de solidarité représentent, à côté des stratégies adaptatives, un autre levier de résistances individuelles/familiales et collectives. Dans les pays du Sud de la Méditerranée où les instances représentatives non communautaires propres aux PP sont encore inexistantes ou balbutiantes, les solidarités traditionnelles (Auclair & Alifriqui, 2012) et, plus récemment, le développement du tissu associatif en milieu rural (Aubert et Saïdi, 2012), constituent malgré tout des espaces de négociation, des remparts contre l’accaparement des terres et participent dans une certaine mesure à la préservation des PP. Dans les pays du Nord, l’ingéniosité et la créativité des organisations paysannes constituent un vecteur de dépassement des individualismes, de conquêtes économiques et politiques et un appui essentiel au maintien et à l’installation.

Pour plus d’informations, voir : http://paysanneries.hypotheses.org/1774

 

sept 29, 2017

Annonce conférence-débat sur : « Le droit de l’intégration africaine entre régionalisme et sous-régionalisme » »

Nous avons le plaisir de vous annoncer une conférence-débat sur le : « Le droit de l’intégration africaine entre régionalisme et sous-régionalisme », donnée par Jean Matringe, Professeur à l’école de droit de la Sorbonne. Intervention de Mutoy MUBIALA, Human Rights Officer, Africa Section 2.

Date : Mercredi 18 octobre 2017

Heures : 18h à 20h

Lieu : l’Université Paris 1. Centre Malher – Amphithéâtre Dupuis – 9 rue Malher – 75004 Paris

Inscription gratuite.

Pour plus d’informations, se reporter à ce lien : http://www.univ-paris1.fr/diplomes/master-2-droits-africains/actualites/

Pages :«1234567...360»

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