Actualités de "octobre, 2013"
oct 18, 2013

Soutenance de these de Roberta Rubino – CEAf – Au-dela du don et du marche. Produire du coton biologique au Mali (30 octobre, Paris)

J’ai le plaisir de vous inviter à ma soutenance de thèse en Anthropologie Sociale et Ethnologie intitulée : Au-delà du don et du marché. Produire du coton biologique au Mali : Entre commerce équitable et développement durable.

Elle aura lieu le mercredi 30 octobre à 14H30 à l’EHESS – salle 8, 105
boulevard Raspail

Le jury sera composé de :
Doris Bonnet, Directrice de recherche à l’IRD (Directrice de thèse)
Jean Paul Colleyn, Directeur d’études à l’EHESS
Anne Doquet, Chargée de recherche à l’IRD
Boris Petric, Chargé de recherche au CNRS
Laurent Vidal, Directeur de recherche à l’IRD

La soutenance sera suivie d’un pot auquel vous êtes chaleureusement invités. Dans un souci d’organisation je vous saurais gré de bien vouloir me signaler votre présence à l’avance.

Cette thèse a été conçue comme une double ethnographie portant à la fois sur l’étude d’un programme de promotion du coton biologique et équitable au Mali et sur l’analyse critique des dispositifs qui règlent et structurent l’ONG internationale de développement, chargée de sa mise en place.
La reconstruction de la chaine de production du coton biologique et équitable du Mali a permis de constater que le commerce équitable n’était
pas en soi une pratique de développement alternatif. Au contraire, au-delà de son contenu spécifique, sa structure formelle fortement idéologique
réplique les caractéristiques, et donc les limites, de tous les autres projets de développement de type moderniste. De plus, de l’analyse des critères du commerce équitable on s’aperçoit que le commerce ne saurait jamais être équitable en raison de la part du don qu’il contient.
Dans le déroulement du programme, l’ONG est apparue comme une institution dotée d’une base suffisamment souple et réactive pour s’adapter et
accueillir les changements  avant qu’ils n’explosent dans le conflit.
En concomitance, diverses techniques de pouvoir se mettent en œuvre pour exercer un contrôle et limiter ces ingouvernables et les expériences dont
elles se font observatrices.

Mots clés : ONG, développement, coton biologique, Mali, commerce équitable.

oct 18, 2013

Soutenance de these de Roberta Rubino – CEAf – Au-dela du don et du marche. Produire du coton biologique au Mali (30 oct, Paris)

J’ai le plaisir de vous inviter à ma soutenance de thèse en Anthropologie Sociale et Ethnologie intitulée : Au-delà du don et du marché.  Produire du coton biologique au Mali,  Entre commerce équitable et développement durable.

Elle aura lieu le mercredi 30 octobre à 14H30 à l’EHESS – salle 8, 105 boulevard Raspail

Le jury sera composé de :
Doris Bonnet, Directrice de recherche à l’IRD (Directrice de thèse)
Jean Paul Colleyn, Directeur d’études à l’EHESS
Anne Doquet, Chargée de recherche à l’IRD
Boris Petric, Chargé de recherche au CNRS
Laurent Vidal, Directeur de recherche à l’IRD

La soutenance sera suivie d’un pot auquel vous êtes chaleureusement invités. Dans un souci d’organisation je vous saurais gré de bien vouloir me signaler votre présence à l’avance.

Roberta Rubino, doctorante au CEAf (EHESS/IRD)

Cette thèse a été conçue comme une double ethnographie portant à la fois sur l’étude d’un programme de promotion du coton biologique et équitable au Mali et sur l’analyse critique des dispositifs qui règlent et structurent l’ONG internationale de développement, chargée de sa mise en place. La reconstruction de la chaine de production du coton biologique et équitable du Mali a permis de constater que le commerce équitable n’était pas en soi une pratique de développement alternatif. Au contraire, au-delà de son contenu spécifique, sa structure formelle fortement idéologique réplique les caractéristiques, et donc les limites, de tous les autres projets de développement de type moderniste. De plus, de l’analyse des critères du commerce équitable on s’aperçoit que le commerce ne saurait jamais être équitable en raison de la part du don qu’il contient.

Dans le déroulement du programme, l’ONG est apparue comme une institution dotée d’une base suffisamment souple et réactive pour s’adapter et accueillir les changements avant qu’ils n’explosent dans le conflit. En concomitance, diverses techniques de pouvoir se mettent en œuvre pour exercer un contrôle et limiter ces ingouvernables et les expériences dont elles se font observatrices.

Mots clés : ONG, développement, coton biologique, Mali, commerce équitable.

oct 18, 2013

Soutenance Marie-Eve Humery : L’ecriture du pulaar (peul) entre l’arabe et le francais (31 octobre, Paris)

Centre Anthropologie de l’Écriture (EHESS) Enquête, Terrains, Théories (CMH- ENS)
le jeudi 31 octobre 2013, 14H00
EHESS, 105 bd Raspail, Paris 6°, salle 7

 

Thèse en Sciences de la société soutenue publiquement par  Marie-Ève HUMERY :   L’écriture du pulaar (peul) entre l’arabe et le français  dans la vallée du fleuve Sénégal
sous la direction de Béatrice Fraenkel et de Jean Schmitz

Jury :
Cécile Canut, Professeur de Sciences du langage (Université Paris Descartes, Paris 5)
Béatrice Fraenkel, Anthropologue, Directrice d’études (EHESS)
Étienne Gérard, Sociologue, Directeur de recherche (IRD-CEPED)
Jean Schmitz, Anthropologue, Directeur de recherche (IRD-EHESS)
Mahamet Timera, Professeur de Sociologie (Université Paris Diderot, Paris 7)
Daniel A. Wagner, Professeur en Sciences de l’éducation (Université de Pennsylvanie)

Les années 1980-1990 ont été celles d’un âge d’or, celui du « mouvement pulaar » où la langue peule (pulaar ou fulfulde, selon les pays), quatrième langue la plus parlée au sud du Sahara, a fait l’objet d’une vaste mobilisation en faveur de son écriture en graphie latine adaptée. Ce mouvement culturel et social surprend à deux titres : d’une part, sa relative ampleur, sa durée et son ancrage populaire, d’autre part, le choix de l’écriture latine alors que le peul s’écrit en caractères arabes depuis au moins le XVIIIè siècle. Une première phase a fait émerger activités d’alphabétisation et  d’édition dans cette langue autour de trois pôles : un pôle local (Sénégal et Mauritanie), un pôle de migration économique (principalement la France à cette période) et un troisième pôle à vocation religieuse (les pays arabes, notamment l’Égypte). Dans des contextes donc bien distincts aux enjeux spécifiques — identitaires, culturels, religieux, politiques, économiques — mais convergents, c’est donc d’abord un nationalisme culturel dynamique et efficace pris en charge par les Peuls et Haalpulaar’en eux-mêmes (littéralement « ceux qui parlent le pulaar ») qui a promu l’écriture du pulaar. À tel point qu’au Fuuta Tooro (moyenne vallée du fleuve Sénégal), l’un des berceaux de cette langue, le moindre hameau aurait été touché par cette vague scripturale. Puis les acteurs du développement — ONGs, coopération hollandaise, allemande ou canadienne, bailleurs internationaux ou églises protestantes américaines — sont venus en relais dans ce processus de diffusion de l’écriture en/du pulaar, sensibilisés par les orientations éducatives internationales de lutte contre l’analphabétisme (Unesco) ou sur incitation des villageois eux-mêmes. Autour des années 2000, le repli de ces acteurs lié aux faibles résultats engrangés dans la vallée en matière de développement et de contrôle des flux migratoires a fragilisé un mouvement pulaar déjà aux prises avec des tensions sociales internes générées par certaines évolutions liées à ce mouvement. Les militants de ce dernier ont alors adopté une stratégie de redéploiement sur les NTIC, notamment sur internet (blogs, forums, enseignement du pulaar en ligne, webradios, etc.).
La question centrale retenue pour étudier ce nationalisme culturel réinvesti par le développement a été de comprendre ce que ce mouvement pulaar pouvait révéler de la société haalpulaar et vice versa. Pouvoir lire et écrire dans sa langue maternelle change-t-il quelque chose ? Comment les compétences et pratiques scripturales sont-elles socialement construites ? Comment participent-elles à la construction individuelle et collective ? En quoi jouent-elles sur les rapports sociaux dans leur dynamique ? Pour y répondre, la littératie pulaar se devait d’être appréhendée dans son contexte pluriscriptural et plurigraphique. Les deux autres langues écrites les plus répandues au Fuuta ont donc été considérées de près : le français, langue officielle et de l’éducation nationale, de la mobilité sociale et d’une migration internationale toujours prisée mais aux destinations de moins en moins francophones, et l’arabe, langue religieuse d’un savoir-pouvoir perpétuant l’establishment social et politique mais aussi langue de certains réseaux commerciaux et migratoires. Comment le pulaar, ses sessions d’alphabétisation, ses pratiques de l’écrit et son répertoire ont-ils pu se frayer un chemin entre ces deux autres littératies, pour ne pas en évoquer une troisième, plus urbaine, celle du wolof, lingua franca au Sénégal qui dispute à ces deux langues nombre de leurs fonctions et attributs ? La littératie pulaar, très investie par les cadets sociaux (jeunes, femmes et groupes statutaires subalternes — artisans ou serviles), a de fait contribué à une certaine reconfiguration de l’échiquier social. Parcelles de pouvoir et d’action ainsi acquises ont fait réagir les catégories sociales dominantes sur les plans foncier, économique, politique, religieux ou symbolique.

Divers outils et méthodes ont été convoqués et mis au point pour saisir la complexité de cet objet, étudié dans un comparatisme entre deux villages voisins du Fuuta sénégalais à dominantes statutaires différentes : l’un de « pêcheurs », l’autre de « guerriers ». L’approche retenue a été globale et pluridisciplinaire tout en se centrant sur une socio-anthropologie de l’écriture parente des New Literacy Studies. Mais la palette d’outils mis au point doit autant aux méthodes quantitatives que qualitatives : chronogénéalogies de la littératie, cartographie des compétences scripturales (CS) grâce au recensement des villages ou statistiques sur la distribution des CS selon diverses variables sociologiques ont recoupé observations et entretiens individuels ou séances collectives.

Après un rappel de l’histoire du mouvement pulaar et de ses racines idéologiques, une description de la situation linguistique, scripturale et éducative au Sénégal et en Mauritanie est entreprise. Poésie et conférences culturelles en pulaar, récits de soi entre roman et micro-historiographies ou livrets sur les préceptes de l’islam retiennent ensuite particulièrement l’attention, tout comme la distinction entre pratiques d’écriture et de lecture ou encore le rapport d’appropriation et d’intimité aux écrits, notamment en pulaar. Puis se dessinent stratégies éducatives individuelles et familiales et variables à l’œuvre dans les trajectoires éducatives des trois littératies. Enfin, les ressorts de la littératie pulaar sont soulignés tant du point de vue des conditions de félicité du mouvement pulaar (mythification de la langue peule, rôle majeur des femmes et engagement des alphabétiseurs) que de celui des dynamiques et tensions sociales internes et transnationales que ce dernier a révélées ou générées.

Mots-clés : écriture – alphabétisation – littératie – peul – Sénégal – Mauritanie – Fuuta Tooro – identités – développement – empowerment – transnationalisation.

Vous êtes tous chaleureusement invités au pot qui s’en suivra à partir de 17/18h, salle 8. Merci de m’indiquer votre venue par retour de mail : <mailto:mehumery@gmail.com>mehumery@gmail.com

oct 18, 2013

Call for abstracts – Indiana University Bloomington African Studies Symposium (November 30, 2013.)

4th Annual Graduate Students in African Studies Symposium
Indiana University, Bloomington

African Innovation :  Ideas Shaping Africa and the World
Saturday, March 1, 2014

Keynote Speaker: Dr. Clapperton Mavhunga, Associate Professor of Science, Technology, and Society, Massachusetts Institute of Technology

Indiana University Graduate Students in African Studies (GSAS) invite proposals for our annual symposium that explore innovations, broadly defined.

How have Africans driven change through inventions, designs, experiments, technologies, ideas, artworks, stories, or skills? What ideas or methods (from within or outside the African continent) have shaped African lives?

Though “innovation” is often conflated with technological novelty, we seek to understand the diverse ways that ingenuity and creativity are manifested in African contexts and beyond—perhaps ways that are unnoticed or unorthodox. Whether generated by individuals, communities, or institutions, whether past or present, new ideas that respond to particular African contexts can have far-reaching social, cultural, and political effects.

Papers might consider, but are by no means limited to, the following areas:
– Visual and performing arts, literature Philosophy
– Religious movements Fashion, popular culture
– Political systems Media and communication
– Entrepreneurship Science, mathematics
– Invented or appropriated technologies Healthcare and medicine
– Agricultural methods New identities, the invention of traditions

We welcome proposals from current graduate students in any discipline. The symposium is open to investigations of any topic, time period, person or place considered in this light. By encompassing diverse perspectives from many areas of scholarship, this symposium aims to create a fruitful dialogue around concepts of creativity and change.

Presentations will be limited to 20 minutes. Please submit abstracts of no more than 300 words to iu.gsas.symposium [at] gmail [dot] com. The deadline for consideration of abstracts is November 30, 2013.

 

 

oct 18, 2013

CFP: Women’s and Gender Studies et Recherches Feministes (Deadline: December 1, 2013)

CALL FOR PAPERS/APPEL À COMMUNICATIONS
WOMEN’S AND GENDER STUDIES ET RECHERCHES FÉMINISTES

DATE: May 25-27, 2014
(Coordinators Meeting May 24, 2014)
LOCATION: Brock University, St. Catharines, Ontario

WGSRF is now seeking proposals, in either French or English, for its annual conference, held in conjunction with the Congress of the CFHSS/FCSH. Submissions for panels, roundtables, workshops, papers, and other presentation formats can be made by groups or individuals, and as joint sessions with other associations. The conference committee encourages you to make use of your networks to organize panels (with moderators) for submission. Please identify the specific theme to which you are submitting your proposal.

The overall theme for this year’s Congress, “Borders without Boundaries,” clearly connects to a number of issues and topics recognizable to WGSRF. We invite abstracts that address the following specialized themes that challenge and problematize “borders” and “boundaries” in numerous ways, in addition to submissions that address topics outside of these themes.

Theme 1: “Borders without Boundaries”? How do feminist and other critical inter/disciplinary approaches, languages, and bodies of scholarship take up the themes of, and complex and multiple relationships between, borders and boundaries? How do they explore borders and boundaries as material, as affective, as stable, as fluid, as rigid, as porous, as repressive, as productive? Where are borders and boundaries located, maintained, and challenged—in space/place, across time, through and on bodies? How do individuals and communities create, defy, live within/without borders and boundaries of all kinds? What are the consequences of troubling the multiple meanings attached to borders and boundaries? And how do other connecting words—such as with, and, through, in, of—complicate and extend understandings of borders and boundaries?
Participants may explore these and related questions through any number of possible topics and approaches, including: space and virtuality; the urban and the rural; home and community; the private and the public; the local, the national, the transnational; nation (building) and citizenship(s); migrations and movements; terror, fear, anxiety; pain and pleasure; work and play; the body; representation; war…. We are interested in proposals: that consider topics through intersectional categories and analyses; that engage scholarly, pedagogical, activist, and cultural productions; and that investigate, interpret, intervene in, and illuminate the complexities that emerge when borders and boundaries are at stake.

Theme 2: “Women’s and Gender Studies: Borders with/out Boundaries”? This theme welcomes proposals that take the field of Women’s and Gender Studies as their site of inquiry and work to further conversations about the field, its pedagogies, practices, and curricula, its institutional force, and its status as a social, academic, political, imaginary, textual, virtual, affective, creative community. How does WGS negotiate borders (and/with/without/in/through) boundaries in its relationship with the university more generally—with other intellectual fields and organizations of knowledges, with the institution and its current pressures/restructurings/funding crises, with a larger climate increasingly suspicious of liberal arts education? How do we continue to energize the field’s various epistemological commitments (to gendering, queering, indigenizing, decolonizing, inter/transnationalizing, and globalizing) in the face of these multiple and contradictory pressures?

Theme 3: Open Call: We also welcome proposals outside of the above two themes that explore Women’s and Gender Studies knowledge work in all its diverse articulations.

HOW TO SUBMIT:
We encourage presentations in a variety of formats, including panels, workshops, roundtables, papers, poster sessions, film and video screenings, performance art pieces, exhibits, and cultural events. If you are proposing a non-traditional presentation, please include a brief write up on any necessary audiovisual, technical, logistical, or room size and location considerations.

The Conference Proposal Form (Word document) can be found on the WGSRF website – www.wgsrf.com – under the ‘annual conference’ tab at the top. All submissions must include a clear, concise and well-argued 250 – 300-word abstract for individual papers and panel topics. Panel submissions must also include short (100 – 150 word) abstracts of the individual papers, and all submissions should indicate the theme for which the proposal is to be considered.

While welcoming individual paper proposals, WGSRF encourages submissions of panel proposals (with a maximum of 3 presenters), to ensure thematic consistency across papers in a given session. Cohesiveness will be a primary criterion in the panel selection process.

Round table presentations may have up to 5 members and workshops may have as few as 2 or as many as 4 facilitators. Proposals for performances and art installations will be evaluated on a case-by-case basis, for feasibility.

All sessions are typically scheduled to be 75 minutes in length; if you are proposing a workshop or non-traditional format, please indicate your expected time and other needs. All proposals will be anonymously reviewed.

**Individual presenters and all members of panels/roundtables must be current members of WGSRF to submit an abstract. For more information, see the membership tab at www.wgsrf.com.

Send proposals, by email only, in Word or RTF, to: WGSRF.Conference.2014@gmail.com.
Deadline: December 1, 2013. No late proposals will be accepted.

oct 18, 2013

Séminaire ADAL – (25 octobre, Paris)

Séminaire ADAL (Analyse des Discours de l’Amérique Latine)
Vendredi 25 octobre 2013 de 14h30 à 16h30
dans l’Espace Tocqueville de l’Institut des Amériques
8e étage, 60 boulevard du lycée,
92170 Vanves
(Métro ligne 12, station Corentin Celton ; Station velib : n° 21311 ;Tram 3a: Porte de Versailles)

L’association ADAL a le plaisir de vous inviter à la prochaine séance de son séminaire autour de la notion de formule, qui se déroulera le vendredi 25 octobre 2013 de 14h30 à 16h30, dans l’Espace Tocqueville de l’Institut des Amériques (IDA).
Nous aurons le plaisir d’accueillir deux intervenantes :
–          Alice Krieg-Planque (Université Paris-Est-Créteil – CEDITEC) : « Formule, figement, phraséologie : l’étude de la stabilisation des énoncés dans l’analyse des discours politiques ».
–          Myriam Hernández Orellana (Université Paris-Est-Créteil – CEDITEC) : « Fémicidio : un concept féministe développé en Amérique Latine devenu une “formule” ».
Vous trouverez un plan d’accès aux locaux de l’Institut des Amériques en pièce jointe.
oct 18, 2013

Colloque « Gouverner les femmes par l’assistance en Amérique latine », (6 février 2014, Nogent sur Marne)

Nous avons le plaisir de vous annoncer la tenue du colloque international organisé par l’ANR Latinassist (programme ANR Les Suds aujourd’hui II), le 6 février 2014 à Nogent-sur-Marne:

Gouverner les pauvres en Amérique latine : gérer les femmes par l’assistance.

 

Coordinatrices scientifiques:
Blandine Destremau, Directrice de recherche, CNRS / LISE
Isabel Georges, Chargée de recherche 1ère classe, IRD / UMR DEVSOC

Nous vous envoyons l’affiche annonçant ce colloque, et un bref résumé du projet, afin que vous puissiez aménager votre emploi du temps pour y participer si vous le souhaitez. Faites-la circuler largement. Nous vous ferons parvenir le programme définitif au cours du mois de décembre.

Nous prévoyons d’inviter l’ensemble des participants à déjeuner et à un cocktail convivial de clôture. Nous vous demandons donc de VOUS INSCRIRE auprès de Beatriz Maida, qui est notre assistante pour l’organisation: beamaida@hotmail.com

oct 18, 2013

Bulletin de veille n°224 Inter-réseaux développement durable – 11 octobre 2013

A la une
- Vidéo : Un « fétiche agricole » nommé CEF
Politiques agricoles et commerciales
- Réunion du Comité Ministériel de la Commission de la CEDEAO
- La CEDEAO prévoit l’application de son TEC à compter du 1er janvier 2015
- Série de notes d’analyse sur le PDDAA / CAADP Policy Brief series
- Politique semencière du Niger
- Augmenter le soutien au secteur de l’élevage pour saisir une opportunité économique majeure pour le Mali
- Le gouvernement sénégalais suspend temporairement les restrictions d’importation sur les oignons
Emplois
- Vidéo IRAM : la question de l’emploi agricole dans les politiques publiques
- L’insertion des jeunes en Afrique : comment la société civile inspire-t-elle l’action publique ?
Marchés et filières
- La démarche d’appui de PAFIRIZ aux différents maillons de la filière riz : Résultats et perception des acteurs
- Rapprocher le marché burkinabè du riz des signaux du marché international
- Policy Options for Agricultural Investments and Governance of Markets : In support of small-scale agriculture in Nigeria
- Analyse des effets socio-économiques de la commercialisation du lait de chamelle sur les ménages des pasteurs dans la région de Tahoua (Niger)
- Cameroun : le renouveau du café d’Oku
Agro-industrie
- Dossier agro-industrie : comment l’Afrique peut devenir le grenier de la planète
Ressources naturelles et enjeux environnementaux
- Fiches techniques GTD/RéSaD : « Savoirs de paysans et lutte contre la désertification »
- Site internet : Negos GRN
- Comment nourrir demain villes et campagnes ? L’agroécologie n’est-elle qu’un rêve ?
- Fondation Nicolas Hulot : 10 fiches pour décrypter le défi climatique
Sécurité alimentaire et nutritionnelle
- Bulletin Afrique Verte : Point sur la situation alimentaire n°149 – septembre 2013
- Note conjointe FAO/PAM n°49 sur la sécurité alimentaire et les implications humanitaires en Afrique de l’Ouest et au Sahel
Enjeux liés au développement
- Site internet : plateforme d’échange web autour des futurs « Objectifs du Développement Durable »
- Document de travail : L’agriculture au cœur des stratégies de développement
- Programme AGORA : Combler le manque d’information dans l’agriculture
Gaspillage
- Les gaspillages et les pertes de la « fourche à la fourchette » Production, distribution, consommation
Fiches techniques
- Fiche technique : préparation d’une solution aqueuse de neem contre les ravageurs des cultures maraîchères
Bulletins d’OP
- FENOP : Bulletin n°15 (Juillet-Août-Septembre 2013)

BDV_224_11octobre2013

oct 17, 2013

Groupe de Réflexion et Études sur la Colombie (24 octobre, Paris)

Nous avons le plaisir de vous inviter à un dialogue autour de la relation entre Littérature et Politique avec les écrivains Eduardo Garcia (Colombien) et  Juan Carlos Alarcon (Argentin)

Cette conférence aura lieu le 
jeudi 24 octobre à 17h00
à
Institut des Amériques
60, boulevard du Lycée – 8ème étage
92170 VANVES
Métro ligne 12, station Corentin Celton,
Station Vélib n°21311, Tram 2 et 3a: Porte de Versailles

Juan Carlos Alarcon est né à Cordoba (Argentine) en 1948. Philosophe de formation, poète, auteur de théâtre et journaliste, il vit en France et travaille avec différents médias culturels et journalistiques latino-américains et européens. Il dirige actuellement l’“espace social et culturel Radio Bumerang Argentina”. Les ouvrages d’Alarcon ont été publiés en France et en Argentine. Dernières publications : País chucaro (poèmes) 2006; Cuando los pájaros vuelan en libertad (roman) 2006 ; El ladrón de campanas (roman) 2004 ; Historias para ser leídas a la tarde al lado de una ventana (contes) 1997 ; Ambición de existir (poèmes bilingues français/espagnol) 1995. Théâtre : La mujer del fin de semana, Théâtre Traversière, París 12 ; 1997  (2006, Groupe théâtre de Pergamino, Argentine) ; La leyenda de huanca iris (Bateau Théâtre la balle au bond, París) 1996 ; Ya 200 años ?… oh mierda ! (Drancy, París et tournée, France) 1989/90
Eduardo García Aguilar est né en 1953 à Manizales (Colombie), et vit à Paris depuis 1979 (études à l’université de Vincennes). Il a publié au Mexique, notamment, les romans Tierra de Leones, 1986 ; Bulevar de los héroes, 1987 (traduit et publié aux États-Unis en 1994), El viaje triunfal (México) 1997 et Tequila Coxis, 2003; les recueils de poèmes Llanto de la espada, 1992 (traduit et publié en France sous le titre Temps des crabes, 2007) ainsi que les essais Delirio de San Cristóbal : Manifiesto para una generación desencantada (Délire de San Cristóbal : Manifeste pour une génération désenchantée, 1998).

Responsables

Jorge Guerra Vélez                                                       Angélica Montes
Chercheur associé CREDA                                          Chercheuse associé au LLCP
IHEAL – Paris III                                                         Université Paris 8
Professeure intervenante- ESSEC

oct 17, 2013

Assemblée Générale du GEIVEN (19 octobre, Paris)

Nous vous rappelons que vous êtes cordialement conviés à l’Assemblée Générale annuelle du Groupe d’Études Interdisciplinaire sur le Venezuela qui aura lieu le :

samedi 19 octobre 2013 à 9h30
à l’IHEAL
Salle Paul Rivet – 5ème étage, gauche
28 rue Saint-Guillaume – 75007 Paris.

Vous trouverez l’Ordre du Jour de cette réunion en pièce jointe.

Il est important que les adhérents expriment leur avis et leur vote afin de garantir la diversité et la dimension démocratique de l’association.

À toutes fins utiles, nous vous rappelons que peuvent voter les membres et membres associés à jour de leur cotisation ou ayant adhéré depuis moins de 4 mois à la date de l’Assemblée Générale.

Si vous ne pouvez être présents, vous avez également la possibilité d’écrire à geiven.org@gmail.com afin d’indiquer à quel membre vous souhaitez confier votre procuration, chaque membre ne pouvant en accepter que deux.

Afin de pouvoir voter, n’oubliez pas de renouveler votre adhésion dès à présent grâce au bulletin ci-joint ou au début de l’Assemblée Générale auprès de notre trésorier (Olivier Folz).

Par ailleurs, si vous souhaitez d’ores et déjà présenter votre candidature au Conseil d’Administration ou au Bureau pour l’année 2013-2014, merci d’envoyer une déclaration de candidature à l’adresse geiven.org@gmail.com, de préférence avant le 12 octobre.

L’Assemblée Générale sera suivie d’un pot convivial afin de commencer cette nouvelle année dans la bonne humeur !

Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire et espérons vous retrouver nombreux le 19 octobre.

AG 2013 GEIVEN – ODJ
AG 2013 GEIVEN – Plan d’accès
Bulletin adhésion GEIVEN 2013-14

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