Actualités de "mars, 2015"
mar 9, 2015

Offre de stages à Epargne sans Frontières

Vous trouverez ci-dessous des informations offrant des stages pour des étudiants de master et un poste de VI au Tchad. Il s’agit d’une offre d’un stage de 6 mois à Epargne sans Frontières : http://www.epargnesansfrontiere.org/Articles_c-9-s-89-i-644

mar 9, 2015

Conférence : « Foncier, villes et territoires au Brésil »

Dans le cadre du séminaire : « Foncier, villes et territoires au Brésil : histoire et historiographie. Approches régionales et perspectives transnationales » de Claudia Damasceno, George F. Cabral de Souza, professeur à l’Université Fédérale de Pernambuco, en séjour post-doctoral au CRBC-Mondes Américains/EHESS, donne une conférence autour du thème : « Élite et exercice du pouvoir au Brésil colonial : la chambre municipale de Recife (1710-1822) ».

Date : Mardi 3 Mars
Heures : 13h-15h
Lieu : EHESS (salle 10) -105 boulevard Raspail – 75006 Paris

Pour en savoir plus, voir : http://crbc.ehess.fr/index.php?2246

mar 9, 2015

5e séance Atelier « Les articulations du social e du politique en Amérique latine »

La cinquièrme séance de l’Atelier de doctorants du Cerlis 2014-2015 « Les articulations contemporaines du social et du politique en Amérique Latine » aura lieu le JEUDI 12 MARS à 18h dans la salle 322, 3éme étage du Bâtiment Jacobs, à l’Université Paris Descartes (45 Rue des Saints-Pères, 75006 Paris).

Cette séance intitulée « Représentations des enfants des rues et politiques publiques au Mexique », compte sur l’intervention de Irène Pochetti, doctorante en sociologie de l’EHESS, membre du CESPRA, en thèse sous la direction de Gilles Bataillon.

Chaque séance peut être validée dans le cadre de la formation doctorale à l’Université Paris Descartes.

mar 9, 2015

Vient de paraître : Frontières de sable, frontières de papier. Histoire de territoires et de frontières, du jihad de Sokoto à la colonisation française du Niger, XIXe-XXe siècles

Auteure : Camille LEFEBVRE
Éditeur : Publications de la Sorbonne
Année 2015
Nombre de pages : 540

Les frontières africaines sont-elles les cicatrices de la violence des impérialismes étrangers en Afrique ? Ce lieu commun du partage de l’Afrique par les puissances coloniales a la vie dure. Mais, en cherchant à dénoncer l’arbitraire colonial, il réduit les configurations territoriales africaines à de simples conséquences de la domination européenne et fait des populations africaines des spectateurs passifs de leur propre histoire. Aux antipodes de cette analyse, cet ouvrage propose pour la première fois une histoire longue de la constitution des frontières d’un État africain – le Niger – englobant dans un même regard un siècle d’histoire antérieure à la colonisation et soixante ans de domination coloniale. Cet ouvrage raconte une histoire paradoxale, celle d’une poignée de militaires coloniaux, qui au début du XXe siècle instituent dans les plus grandes difficultés un gouvernement précaire qui s’appuie très largement sur les organisations politiques et territoriales locales et qui, ce faisant, contribuent à la fois à les vider de leur sens et à amoindrir leur importance. Les frontières alors mises en place sont dans leur grande majorité le reflet des dynamiques historiques internes du Soudan central au XIXe siècle. Pourtant l’histoire de leur tracé a contribué à construire le grand récit d’Européens maîtres du jeu imposant sans considération le partage du monde.

Pour plus d’informations, voir : http://www.publications-sorbonne.fr/fr/livre/?GCOI=28405100259090

mar 9, 2015

SOGIP : « Séminaire Perspectives comparatives sur les droits des peuples autochtones »

L’équipe ERC SOGIP, dirigée par Irène Bellier, a le plaisir de vous inviter au séminaire mensuel : « Perspectives comparatives sur les droits des peuples autochtones » – année 2014-2015 : participation politique et citoyenneté ».

Date : Jeudi 12 mars 2015
Heure : 9h à 13h
Lieu : EHESS, Salle du Conseil A, bâtiment Le France, 190 av de France, 75013 Paris.

5ème séance : Les défis de la participation politique

Intervenants :

Jean-Pierre Chaumeil (CNRS-UPO – LESC) : Anthropologie politique contemporaine en Amazonie occidentale (Pérou, Colombie, Equateur)
David Recondo (CERI-Sciences Po) : Archéologie d’une altérisation. La différenciation symbolique entre les régimes représentatifs libéral-occidental et coutumier-indigène au Mexique
Alf Gunvald Nilsen (Université de Bergen) : “Real, Practical Emancipation” ? Subaltern Politics and Insurgent Citizenship in Contemporary India
Présentation :

A la fin du siècle dernier, les peuples autochtones ont émergé dans la vie politique nationale et internationale. Leur participation dans des mouvements sociaux et dans des institutions étatiques dans différents pays leur a permis de se présenter comme des acteurs politiques et plus seulement comme des récepteurs passifs des politiques. Leur investissement a produit de riches expériences par lesquelles ils ont cherché à exercer leur droit à la participation à la vie politique. Parmi elles, on remarque la création, la récupération ou la réadaptation d’institutions autochtones, la participation dans les institutions étatiques, l’innovation dans les répertoires d’action, la formation de dispositifs de représentation. Tous ces apprentissages influencent les trajectoires individuelles et collectives de ces peuples. Aujourd’hui, alors que le droit à la participation et à la citoyenneté est reconnu de longue date aux individus et plus récemment aux peuples autochtones dans plusieurs instruments juridiques internationaux et lois nationales, l’affirmation des personnes et collectifs autochtones comme acteurs de la vie politique n’a rien d’évident ni de simple. Partout, ces groupes font face à d’importants défis pour s’affirmer comme acteurs au niveau local, national et international, pour faire entendre leurs voix et participer à la résolution des conflits dans lesquels ils sont pris. Nous explorerons différents aspects de cette problématique à travers trois interventions. Jean-Pierre Chaumeil (CNRS-UPO – LESC) présentera une analyse comparative de l’entrée des autochtones en politique dans trois pays d’Amazonie. David Recondo (CERI-Sciences Po) analysera la différenciation symbolique entre les régimes représentatifs « libéral-occidental » et « coutumier-indigène » au Mexique. Alf Nilsen (Université de Bergen), évoquera de manière critique les mouvements d’émancipation adivasi et l’expression d’une « citoyenneté insurgée » en Inde.
Résumés :

Anthropologie politique contemporaine en Amazonie occidentale (Pérou, Colombie, Equateur) Jean-Pierre Chaumeil, CNRS-UPO – LESC

On proposera dans cette intervention un résumé des principales recherches menées par le GDRI APOCAMO que coordonne l’Institut Français d’Études Andines de Lima (Pérou). Ce groupe a analysé de manière comparative le processus de construction de nouveaux modes de représentativité politique autochtone, en essayant de mettre en lumière les spécificités propres à chaque cas. Il s’est interrogé sur l’apparition de nouvelles formes de leadership et de représentation politique au sein des communautés, sur le processus croissant d’urbanisation et la mise en place chaque jour plus avérée d’une bureaucratie –voire d’une diplomatie– indigène, ainsi que sur les conséquences politiques des conflits socio-environnementaux opposant compagnies extractives et peuples autochtones, notamment à travers l’usage politique de certains rituels. On s’interrogera également sur la question de la représentativité effective de ces collectifs et sur l’activité de contrôle de leur univers par l’Etat que pourrait éventuellement signifier cette forme conventionnelle d’entrée en politique.

Archéologie d’une altérisation. La différenciation symbolique entre les régimes représentatifs libéral-occidental et coutumier-indigène au Mexique David Recondo, CERI-Sciences Po

Depuis les années 1990, les revendications des mouvements indiens et les politiques multiculturalistes mises en œuvre par les États latino-américains ont contribué à forger l’idée d’une différence ontologique entre un système libéral-représentatif (reposant le plus souvent sur une mise en concurrence de candidats accrédités par des partis politiques) et un système communaliste-participatif (fondé sur une logique de service obligatoire des individus au profit de la collectivité). Nous étudierons comment s’est construit cette dichotomie, dans un contexte où les pratiques électorales et représentatives sont caractérisées par une forte hybridité. Il s’agira, en somme, de faire une archéologie des modes de formation et de légitimation d’une distinction entre régimes de représentation, fondés sur l’idée d’une différence ethnoculturelle radicale.

“Real, Practical Emancipation” ? Subaltern Politics and Insurgent Citizenship in Contemporary India Alf Gunvald Nilsen (University of Bergen)

The political vocabulary of citizenship figures centrally in many of the oppositional projects articulated by subaltern groups in India. Dalits, poor rural women, informal sector workers, lower caste peasantries and Adivasis have articulated rights-based claims that appropriate “the universalizing vocabularies” (Corrigan and Sayer, 1985) of the postcolonial Indian state in which citizenship figures as a foundational idiom (Jayal 2013). In the process, these universalizing vocabularies are transformed to such an extent that “the practice of claims making is generative of new understandings and subjects of rights”. However, as much as the crystallization of a subaltern politics of “insurgent citizenship” (Holston 2008) has destabilized the hegemonic position of dominant groups in India, there are good reasons to raise questions about the extent to which subaltern mobilizations around citizenship in India have in fact resulted in the kind of democratic deepening that would be required to achieve a “sustained (re)allocation of resources and shifting of power relations within which chronic poverty is embedded” (Hickey and Bracking 2005 : 851 ; see also Heller 2000). In order to know if the ways in and extent to which citizenship is a political idiom capable of bringing about real, practical emancipation for subaltern groups in contemporary India, Nilsen will consider how Bhil Adivasis in western Madhya Pradesh have organized and mobilized. He will show how the emergence of a subaltern politics of insurgent citizenship in the Bhil communities enabled a set of emotional and practical transformations that engendered new forms of political subjectivity and agency. Insurgent citizenship led for a more radical demand for Adivasi self-rule, a claim that was quelled through campaigns of state repression.
Prochaine séance :

Jeudi 9 avril 2015 : Les enjeux fonciers pour les peuples habitant les forêts. Intervenants : Geoffroy FILLOCHE (GRED/IRD), Jean-Pierre Nguede Ngono (doctorant EHESS), Miquel FIGUERAS MOREU (doctorant EHESS)

Attention : le séminaire du 9 avril se tiendra à l’EHESS, 190 avenue de France 75013 Paris au Rez-de-chaussée en salle 1

mar 9, 2015

Rencontre « Chili, un présent politique encore marqué par un passé dictatorial »

Dans le cadre de son Observatoire de l’Amérique latine, la Fondation Jean-Jaurès vous invite à une rencontre consacrée au Chili, autour de la thématique : « Chili, un présent politique encore marqué par un passé dictatorial »
Un documentaire réalisé par Jorge Reyes, « Avenue des Amériques », sera diffusé à 19h suivi d’un débat autour de Jorge Reyes, Carlos Ominami (président de la Fondation chilienne Chile 21 et ancien ministre) et de Jean-Jacques Kourliandsky (directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine et chercheur à l’IRIS).

Vu le nombre limité de places, il est vivement conseillé d’indiquer votre participation. Merci d’avance.

Date : mardi 17 mars
Heure : à partir de 18h30
Lieu : L’accès à la Cité Malesherbes se fait au niveau du 59, rue des Martyrs (métro Pigalle) par une des deux petites grilles noires latérales (appuyer sur le « P » du digicode ou, si besoin, le code est : 6345).

mar 9, 2015

Association ADAL – Participation activités scientifiques

L’association ADAL (Analyse des Discours de l’Amérique Latine) a le plaisir de vous inviter à participer à ses activités scientifiques.

Dans ce cadre, vous pouvez proposer une thématique ou des questions théoriques et méthodologiques à discuter au sein d’une séance du séminaire ADAL, mais également présenter vos travaux de recherche. Notre association a été conçue pour favoriser les échanges et la diffusion des travaux sur les discours politiques ayant trait à l’Amérique latine. Nous vous invitons donc à nous faire part de toutes vos envies et suggestions à l’adresse suivante : morgandonot@yahoo.fr

Nous invitons par ailleurs toutes les personnes et institutions intéressées par nos activités à nous contacter et à visiter notre site : http://www.adalassociation.org/fr/.

Si vous souhaitez devenir membre de l’association ADAL ou renouveler votre adhésion, il vous suffit de compléter le bulletin d’adhésion 2015 : http://www.adalassociation.org/fr/association-adal/devenir-membre.

Les activités de l’association ADAL étant financées par les cotisations des membres, n’hésitez pas à nous soutenir !

Au plaisir de vous compter parmi nous,

Association ADAL
Analyse des discours de l’Amérique latine
http://www.adalassociation.org/fr/

mar 9, 2015

Vient de paraître : « Les autorités locales dans la gestion des crises »

Nous avons le plaisir de vous annoncer la parution de la nouvelle étude de Cités Unies France : « Les autorités locales dans la gestion des crises », éditée en février 2015.

Ce travail explore le rôle de la gouvernance locale dans les zones de crise et dans les pays à États fragiles. Elle est l’aboutissement d’une réflexion menée depuis plus de 17 ans au sein de Cités Unies France. Deux constats paradoxaux ont progressivement fait émerger et ont structuré la réflexion de Cités Unies France à ce sujet : les autorités locales, de par leur proximité et leur légitimité, sont en première ligne lors de l’éclatement d’une crise sur leur territoire ; pourtant, le système humanitaire qui intervient pour soutenir les zones affectées, les laisse de côté. L’expérience accumulée et le constat des limites des systèmes existants ont conduit Cités Unies France à définir une nouvelle approche pour les situations de post-crise qui suivent les périodes d’urgence et qui peuvent, malheureusement, durer dans le temps. Nous présentons et proposons dans cette monographie, entre autres choses, une nouvelle approche l’on pourrait définir « locale et généraliste ». Une aide financière et technique destinée au soutien de la gouvernance locale et urbaine.
Pour Cités Unies France, convaincue du rôle crucial des autorités locales dans le développement du monde, il est urgent de mettre au cœur de l’agenda mondial le lien évident entre les questions de crise et les questions de développement afin que le rôle des autorités locales dans le processus global de gestion des risques et des crises puisse être compris, reconnu, valorisé et développé.
Cet ouvrage présente cette thématique de réflexion : forte des expériences de fonds de solidarité que CUF a créé il y a près de 20 ans, l’association est persuadée que les autorités locales doivent être bien plus qu’impliquées dans le processus de gestion de crise – elles doivent en devenir les chefs de file.
Roland Ries, Président de Cités Unies France, ainsi que l’équipe du pôle Programmes d’urgence, se joignent à moi pour remercier les collectivités territoriales ayant contribué à la réalisation de ce document.

Si vous souhaitez vous procurer cet ouvrage, vous trouverez ci-joint un bon de commande, à retourner à Katarina Fotic, k.fotic@cites-unies-france.org, fax 01 53 41 81 41. Vous pouvez également le commander directement en ligne à l’adresse suivante sur notre site : http://www.cites-unies-france.org/Les-autorites-locales-dans-la.

Pour d’autres détails, voir ce PDF : CRISES_Flyer2015_2

mar 9, 2015

Offre : Poste de chercheur en sociologie au Colegio de México

Nous avons le plaisir de vous informer qu’un poste de chercheur en sociologie au collègue de Mexique est ouvert. Il n’est pas indispensable d’être spécialiste ni de Mexique, ni de l’Amérique latine.

Pour plus d’informations sur le profil, se reporter à ce lien : http://ces.colmex.mx/convocatorias/convocatoria-plaza-2015

mar 2, 2015

Offre de stage intitulé : « Appui à la réalisation d’études sur le financement du développement »

Épargne sans frontière lance une offre de stage intitulé : « Appui à la réalisation d’études sur le financement du développement »

Pour plus d’informations, voir ce PDF : ESF_Stage_2015_Etudes_financement_développement-1

Pages :«12345»

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