Actualités dans "PUBLICATIONS"
avr 10, 2015

Vient de paraître : « Le Corbusier. Une froide vision du monde »

Auteur : Marc PERELMAN
Éditeur : Michalon
Année 2015
Nombre de pages : 256

Résumé
Une analyse critique de l’oeuvre de Le Corbusier. L’auteur s’inscrit à contre-courant du consensus général qui présente l’architecte comme l’artisan du bonheur des individus. M. Perelman, revendiquant sa partialité, interroge la réalité de la démarche architecturale et urbaine de l’artiste et s’appuie sur les témoignages des usagers qui ont utilisé et éprouvé ses réalisations.

Pour plus d’informations, voir : http://livrenumerique.librairie.citebd.org/ebook/9782347015435-le-corbusier-une-froide-vision-du-monde-marc-perelman/

mar 30, 2015

Vient de paraître : « La présence de la Chine dans la Caraïbe »

En 2014, l’Institut des Amériques a réalisé un rapport à la demande de l’AFD qui, a mobilisé plusieurs experts de son réseau et a été coordonné par Carlos Quenan, Professeur à l’IHEAL et Vice-Président de l’IdA ; Eric Dubesset, Maître de conférence à la Faculté de Droit et de Sciences Politiques de Bordeaux et Viktor Sukup, Analyste d’économie internationale et ancien fonctionnaire de la Commission européenne dans le domaine de la coopération au développement.

L’AFD vient de publier cette étude sous la forme d?un document de travail. Il sera présenté dans le cadre d’une séance de Think Tank de l’Institut des Amériques au cours des prochaines semaines.

Depuis quelques années, la République populaire de Chine (RPC) organise son grand retour sur la scène internationale. Tant sur le plan diplomatique que sur le plan économique, elle tend ainsi à multiplier ses implantations dans le monde. Dans la Caraïbe insulaire, où sa présence est ancienne, l’influence chinoise s’affirme au bénéfice de cette dynamique, tout en se diversifiant. Est-il cependant possible de parler de percée chinoise dans cette région historiquement sous influence de l’Europe et des États-Unis ?
Réalisée dans le cadre d’un partenariat entre l’Institut des Amériques (IdA) et de l’Agence Française de Développement (AFD), cette étude tente d’y répondre.

Liste des auteurs:

– Romain CRUSE enseigne la géographie, l’économie et l’histoire de la Caraïbe à l’Université des Antilles et de la Guyane (UAG), en Martinique, ainsi que l’University of the West Indies (UWI), à Trinidad et à la Jamaïque, dans les départements d’économie, de géographie et de sciences politiques. Il enseigne aussi le créole jamaïcain dans le département d’Anglais de l’UAG.

– Juan Carlos DIAZ MENDOZA, Étudiant à l’IHEAL.

– Laneydi MARTINEZ ALFONSO, Doctorante à l’Université de La Havane.

– Antonio ROMERO, Département Macroeconomia y Estudios Comparados, Universidad de la Habana (Cuba).

Pour plus d’informations sur ce document voir ce lien : http://librairie.afd.fr/la-presence-de-la-chine-dans-la-caraibe/

mar 30, 2015

Le Musée de l’histoire de l’immigration lance une aide à l’édition des thèses

Dans le cadre de sa politique de soutien à la diffusion et à la valorisation de la recherche, le Musée de l’histoire de l’immigration propose une aide à l’édition des thèses.

En 2015, seront attribuées deux aides de 1500 euros chacune, versées sur convention, à des éditeurs publiant en France, et ayant retenu pour publication un ouvrage portant sur l’histoire des migrations.

Toutes les thèses, quelle que soit l’année de soutenance, sont éligibles.

La qualité scientifique de la thèse, mais aussi l’approche historique et la dimension centrale des migrations constituent des critères importants de l’évaluation.

Les dossiers de candidature devront comporter : une lettre d’engagement de l’éditeur ; le rapport de thèse et une copie de la thèse en format numérique pdf.

La date limite d’envoi des dossiers est fixée au 1er juin 2015.

Le choix des lauréats sera annoncé à l’automne.

Contact : Marianne Amar, marianne.amar@histoire-immigration.fr

Pour d’autres informations, voir : http://www.histoire-immigration.fr/

mar 27, 2015

Vient de paraître le Bulletin de synthèse n°15 sur le thème : « Agricultures familiales en Afrique de l’Ouest : nuancer les affirmations pour faire avancer le débat »

A la fin des années 90, l’émergence du concept d’ « agriculture familiale » (AF) marque le début des discussions sur le devenir des agricultures ouest-africaines. Quinze ans plus tard, l’AF est mieux connue, définie, documentée. Organisations paysannes (OP), ONG, chercheurs, mais aussi organisations internationales, États et organisations régionales semblent s’accorder sur l’importance de ce modèle de production dans la région. Mais cet apparent consensus ne dissimule-t-il pas de réelles divergences, des réponses trop simplistes face à des questions d’une grande complexité ? L’agriculture familiale est l’objet de beaucoup de simplifications, mais aussi d’oppositions fortes : pour les uns, elle est « engluée dans la misère », alors que pour d’autres, elle est performante et résistante à toute épreuve. A la lumière des connaissances et prises de position exprimées notamment lors de l’Année Internationale de l’Agriculture Familiale (AIAF), ce bulletin décortique quelques affirmations souvent rebattues, afin de restituer la complexité des réalités.

Ce bulletin est en ligne : http://www.inter-reseaux.org/ressources-thematiques/article/bulletin-de-synthese-no15

mar 27, 2015

Stéphane Witkowski dans les médias

Dans le journal de France Culture (8 h) le lundi 23 mars 2015, Stéphane Witkowski, président du conseil de gestion de l’IHEAL, analysait les relations entre l’Union européenne à Cuba à l’occasion de la visite à La Havane de Federica Bogherini, Haute représentante de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité ( à partir de la 13ème minute).

Vous trouverez – en version pdf : CCE578-article_Cuba – son article sur les relations Cuba-Etats-Unis, publié dans la « Revue des Conseillers du Commerce extérieur ».

mar 25, 2015

Vient de paraître : « Agricultures familiales : trajectoires, modernités et controverses (II) »

La revue-tiers monde a le plaisir de vous informer de la parution de son n° 221 – Agricultures familiales : trajectoires, modernités et controverses (II).

Le second tome du dossier consacré aux agricultures familiales et dirigé par Delphine Acloque Desmulier, Pierre Gasselin et Henri Rouillé d’Orfeuil, en librairie le 8 avril 2015.

En 2014, l’Année internationale de l’agriculture familiale a remis à l’agenda politique et scientifique une forme sociale et technique d’agriculture longtemps dépréciée et décriée. De fait, les modèles agro-industriels exportateurs ont soigneusement accaparé l’essentiel des investissement dans le cadre d’économies largement libéralisées. Ainsi, l’année 2014 a constitué une opportunité majeure, pour les chercheurs comme pour les acteurs du développement, de rendre compte de la diversité des agricultures familiales, de leurs atouts, mais également des difficultés auxquelles elles sont confrontées.

Quelles sont les conditions favorables aux agricultures familiales et à leurs contributions au développement de l’ensemble de la société ?

C’est à cette opportunité et à cette question que la Revue Tiers Monde s’est proposée de contribuer en publiant deux dossiers thématiques dont nous livrons ici la seconde partie (le premier tome est disponible depuis janvier 2015).


Dossier

Hubert Cochet Controverses sur l’efficacité économique des agricultures familiales : indicateurs pour une comparaison rigoureuse avec d’autres agricultures
Michel Vaillant, Marc Dufumier Archaïsme ou modernité en haute vallée andine du Cañar (Équateur) : de quoi la petite exploitation familiale est-elle le reflet ?
Hichem Amichi, Sami Bouarfa, Marcel Kuper Arrangements informels et types d’agriculture sur les terres publiques en Algérie : quels arbitrages ?
Voahirana Tantely Andrianantoandro, Jean-François Bélières L’agriculture familiale malgache entre survie et développement : organisation des activités, diversification et différenciation des ménages agricoles de la région des Hautes Terres
Hélène Guétat-Bernard Travail des femmes et rapport de genre dans les agricultures familiales : analyse des similitudes entre la France et le Cameroun
Hiroko Amemiya La longue marche de l’agriculture familiale au Japon
Delphine Acloque Desmulier, Pierre Gasselin Pour conclure. La quadrature des agricultures familiales : instruire et dépasser les controverses

Varia

Gilles Carbonnier, Tiina Kontinen Institutional Learning in North-South Research Partnerships
Laure Criqui Les voies de l’extension des réseaux de services essentiels dans les quartiers irréguliers de Lima

Analyses bibliographiques (accès libre) : https://www.univ-paris1.fr/ufr/iedes/larevue/analyses-bibliographiques/#c602303

Pour plus d’informations, voir les PDF suivants : rtm_221_vdp_fr

mar 20, 2015

Vient de paraître : Faire frontière(s). Raisons politiques et usages symboliques

Auteurs : Carine CHAVAROCHETTE , Magali DEMANGET , Olivier GIVRE
Éditeur : Karthala
Année : 2015
Nombre de pages : 208

Présentation :

Il est d’usage de considérer que les frontières politiques ne recoupent pas les frontières symboliques. Là où les premières relèveraient d’une démarcation spatiale et administrative arbitraire, les secondes traduiraient le caractère fluctuant et imprécis de limites ou catégories culturelles toujours négociées. Cette distinction de principe se voit questionnée dans un monde globalisé, marqué par la multiplicité des échelles, des connexions et des réseaux, mais où s’observent également des processus de singularisation, de fragmentation ou de hiérarchisation.
Rien moins qu’immuables, les frontières politiques connaissent des recompositions multiples et apparemment contradictoires, entre effacement et renforcement, ouverture et fermeture, homogénéisation et prolifération. Le décloisonnement apparent des sociétés, s’il a pu alimenter l’imaginaire d’un monde sans frontières, met aussi en lumière la multiplicité infinie des frontières symboliques que les acteurs et les groupes sociaux ne cessent d’élaborer pour se penser et entrer en relation.
Cet ouvrage interroge la distinction entre frontières politiques et frontières symboliques, au fil de contributions ancrées dans une démarche empirique et relevant aussi bien de l’anthropologie que de la géographie ou de l’histoire de l’art. Si les frontières politiques ou géographiques sont traitées dans ce livre, il y est également question de la multitude des frontières culturelles, sociales, idéologiques, ethniques, intimes, témoignant des dimensions interactionnelles et relationnelles des frontières en général.
Qu’il s’agisse de « faire avec » des frontières conflictuelles ou sensibles, de (se) les représenter par différents moyens, ou encore de pratiquer ou mobiliser une échelle transfrontalière aujourd’hui fort valorisée, apparaissent la pluralité et la tension des histoires, des mémoires et des héritages. En explorant leurs formes concrètes et leurs imaginaires, leurs dimensions normatives et leur caractère performatif, cet ouvrage entend contribuer à une anthropologie des frontières à l’heure où s’observent aussi bien leur brouillage que leur renforcement.

Carine Chavarochette est anthropologue, chercheure associée au Centre de recherche et de documentation sur les Amériques (CREDA) de l’Institut des hautes études de l’Amérique latine (IHEAL, CNRS, Paris 3).
Magali Demanget est anthropologue, maître de conférences à l’Université Paul-Valéry Montpellier et chercheure au Centre d’études et de recherches comparatives en ethnologie (CERCEe1-LERSEM), affiliée à l’EREA-LESC, MAE (Maison de l’archéologie et de l’ethnologie) René Ginouvès, CNRS, Université Paris Ouest Nanterre la Défense.
Olivier Givre est anthropologue, maître de conférences à l’Université Lumière Lyon 2 et chercheur à l’UMR EVS-CREA (Environnement, Ville, Société – Centre de recherches et d’études anthropologiques).

Ont également participé à cet ouvrage : Anne-Laure Amilhat Szary, Philippe Bachimon, Élise Beck, Silvia Chiarini, Pierre Dérioz, Françoise Lestage, Léo Martinez, Claire Cécile Mitatre, Gilles De Rapper, Xavier Roigé, Lætitia Rouvière, Pierre Sintès.

Pour plus d’informations, se reporter ici : http://www.iheal.univ-paris3.fr/fr/vient-de-paraitre/faire-fronti%C3%A8res-raisons-politiques-et-usages-symboliques

mar 18, 2015

Vient de paraître : AFRIQUE DU SUD : 20 ANS DE DÉMOCRATIE CONTRASTÉE ?

Nous avons le plaisir de vous informer que vient de paraître le n° 101 de la revue Recherches internationales, octobre-décembre 2014, pp. 43-52 autour du thème : AFRIQUE DU SUD : 20 ANS DE DÉMOCRATIE CONTRASTÉE ?


DOSSIER : AFRIQUE DU SUD : 20 ANS DE DÉMOCRATIE ?

• Raphaël Porteilla
Afrique du Sud : 20 ans de démocratie contrastée ? [Présentation]
•Patrick Bond
« Paroles à gauche, actions à droite » : les politiques sociales en Afrique du Sud
•Marianne Séverin
D’une alliance à une « dés-Alliance tripartite » : ANC-SACP-COSATU
• Jacqueline Derens
Femmes d’Afrique du Sud après 20 ans de démocratie
• Serge Djoyou Kamga
L’éducation des enfants au déficit intellectuel sévère en Afrique du Sud
• Nancy Andrew
Une évaluation critique de la réforme foncière en Afrique du Sud

REPÈRES

• Patrick Kamenka
L’abandon du South Stream » : la guerre du gaz aura-t-elle lieu ?

NOTES

• Alexis Coskun
Les listes d’organisations terroristes, un instrument juridique éminemment politique

NOTES DE LECTURE

Arjun Appadurai,Condition de l’homme global [Chloé Maurel]
Robert Kagan, L’ordre mondial américain – Les conséquences d’un déclin [Pierre Guerlain]
Olivier Richomme, De la diversité en Amérique – Politiques de représentations des minorités ethno-raciales
aux Etats-Unis [Pierre Guerlain]
Samuel Laurent, L’État islamique [Michel Rogalski]

Pour plus d’informations, voir : RI101Presentation

mar 18, 2015

Vient de paraître : « Terres, Territoires, Ressources. Politiques, pratiques et droits des peuples autochtones »

Auteur : Irène Bellier (Dir.), Directrice de recherche au CNRS-EHESS, membre du Bureau de Direction du GITPA

Avec les contributions de : Irène Bellier ; Arturo Escobar ; Jon Altman ; Richard Chase Smith ; Brian Thom ; Morita Carrasco ; Leonardo Tamburini ; Francesca Thornberry ; Andrew Erueti ; Gérard Collomb ; Stéphanie Guyon ; Brigitte Wyngaarde Caroline Desbiens ; Irène Hirt ; Pekuakamiulnuatsh Takuhikan ; Oiara Bonilla ; Artionka Capiberibe ; Justin Kenrick ; Robert Hitchcock ; Sarah Benabou ; Tuhiira Terahi Tuki Huke ; Leslie Cloud ; Claire Levacher ; Samuel Gorohouna ; Brian Wyatt ; Mark Harris ; Felix Padel ; Samarendra Das ; Juan Luis Sariego Rodríguez.

Année : 2014
Éditeur : L’Harmattan, coll. Horizons Autochtones
Nombre de pages : 394

Résumé :

La reconnaissance de droits territoriaux, l’usage et la protection des ressources naturelles, le rapport à la terre occupent une place centrale dans les revendications des peuples autochtones. Ces problématiques furent au cœur de la négociation de la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones, adoptée en 2007.
Bousculés par l’avancée des fronts de colonisation liés à la réalisation de grands projets d’infrastructures, perturbés par l’intensification des activités minières et agro-industrielles ou par la mise en place de réserves écologiques sur leurs territoires, face à l’État mais trop souvent sans disposer d’une citoyenneté pleine et entière, les peuples autochtones peuvent-ils connaître un « développement » compatible avec le respect des droits humains ? Cette question qui s’adresse à l’ensemble du monde, sans distinction de race, de genre ou de confession, concerne précisément ces populations qui tirent subsistance de la terre et dont la fragilité des situations juridiques accentue la vulnérabilité.

Ce livre a été conçu à partir d’un atelier international, financé par le Conseil européen de la recherche et organisé par l’équipe SOGIP (ERC 249236) qui travaille sur les échelles de la gouvernance reliant les Nations unies, les États et les peuples autochtones, et sur les sens de l’auto-détermination à l’heure de la globalisation. Amorcé par une réflexion sur le lien entre « terres », « territoires » et « ressources » qui a été établi par les négociateurs du droit et que les ontologies autochtones éclairent, le livre aborde trois grandes problématiques. La première traite des droits fonciers et territoriaux, du besoin d’une sécurité juridique et de la relation à la terre, la deuxième questionne la place de l’humain dans les projets de développement ou de protection de l’environnement, la dernière se penche sur les enjeux miniers.

Des anthropologues, des géographes, des juristes, des leaders autochtones, des politistes offrent ici un tour d’horizon de ces problématiques dans une quinzaine de pays et cinq continents, comme pour un précédent ouvrage portant sur les enjeux de la reconnaissance pour les peuples autochtones, paru dans cette même collection.

Pour d’autres informations, voir : http://www.gitpa.org/Qui%20sommes%20nous%20GITPA%20100/ACTU%20lettre%20HA4%20BELLIER.htm

mar 9, 2015

Vient de paraître : Frontières de sable, frontières de papier. Histoire de territoires et de frontières, du jihad de Sokoto à la colonisation française du Niger, XIXe-XXe siècles

Auteure : Camille LEFEBVRE
Éditeur : Publications de la Sorbonne
Année 2015
Nombre de pages : 540

Les frontières africaines sont-elles les cicatrices de la violence des impérialismes étrangers en Afrique ? Ce lieu commun du partage de l’Afrique par les puissances coloniales a la vie dure. Mais, en cherchant à dénoncer l’arbitraire colonial, il réduit les configurations territoriales africaines à de simples conséquences de la domination européenne et fait des populations africaines des spectateurs passifs de leur propre histoire. Aux antipodes de cette analyse, cet ouvrage propose pour la première fois une histoire longue de la constitution des frontières d’un État africain – le Niger – englobant dans un même regard un siècle d’histoire antérieure à la colonisation et soixante ans de domination coloniale. Cet ouvrage raconte une histoire paradoxale, celle d’une poignée de militaires coloniaux, qui au début du XXe siècle instituent dans les plus grandes difficultés un gouvernement précaire qui s’appuie très largement sur les organisations politiques et territoriales locales et qui, ce faisant, contribuent à la fois à les vider de leur sens et à amoindrir leur importance. Les frontières alors mises en place sont dans leur grande majorité le reflet des dynamiques historiques internes du Soudan central au XIXe siècle. Pourtant l’histoire de leur tracé a contribué à construire le grand récit d’Européens maîtres du jeu imposant sans considération le partage du monde.

Pour plus d’informations, voir : http://www.publications-sorbonne.fr/fr/livre/?GCOI=28405100259090

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