mar 25, 2016

La lettre de la Fondation Gabriel Péri – Mars 2016

Séminaire : Quels contenus l’école doit-elle transmettre ? Quelle place pour les sciences sociales dans l’école commune ?

le mardi 29 mars 2016 à 18h30
Mairie du 3ème arrondissement,
2 rue Eugène Spuller, 75003 Paris
salle Patricia Brebion-Vallat
(métro République)Inscriptions : inscription@gabrielperi.fr

Présentation :

La prochaine séance du séminaire sera animée par Alain Beitone, professeur de SES, et Jérôme Deauvieau, directeur du département de Sciences sociales de l’ENS, et consacrée à une réflexion sur la contribution possible des sciences sociales à l’enseignement d’une école démocratique.

La perspective de l’École commune (et en particulier du lycée unique) suppose des reconfigurations disciplinaires. Cette séance du séminaire se propose d’explorer la question de la place des sciences sociales dans l’école commune. Il faut pour cela envisager les problèmes didactiques et institutionnels d’une telle présence des sciences sociales tout au long du cursus de l’école commune (du CP à la terminale). Ces problèmes sont nombreux et complexes et nous soumettrons à la discussion collective un certain nombre de questions ouvertes. Nous nous appuierons aussi sur diverses tentatives antérieures d’élargissement du champ de l’enseignement des sciences sociales.

Lire la suite : http://www.gabrielperi.fr/quels-contenus-l’école-doit-elle-transmettre.htm

Rencontre : Élections aux États-Unis : De quoi et de qui Bernie Sanders est-il l’expression ?Soirée exceptionnelle avec Gerald Friedman, économiste, professeur à l’université de Amherst (Massachusetts) ; Mark Kesselman, professeur émérite de science politique à l’Université de Columbia (New-York)

le mardi 5 avril 2016 de 18h30 à 20h30
Espace Oscar Niemeyer
2 place Colonel Fabien (entrée 6 av. Mathurin Moreau)
75019 Paris
Métro : Colonel-Fabien (ligne 2)

Entrée libre sur inscription préalable : inscription@gabrielperi.fr

Présentation :

Un nouveau paysage politique se dessine aux États-Unis à l’occasion des primaires de désignation des candidats Démocrates et Républicains à l’élection présidentielle du 8 novembre prochain. Dans plusieurs États, le sénateur du Vermont, Bernie Sanders, se retrouve en tête devant Hillary Clinton ou la talonne. Ce succès aussi inattendu qu’impressionnant interroge sur sa signification, les raisons de ce mouvement, comme sur le soutien de la jeunesse, l’espoir qu’il exprime et qu’il alimente. Ce mouvement interroge d’autant plus en Europe que ce candidat se revendique explicitement du « socialisme », un mot qu’on croyait banni du vocabulaire et de la vie politique outre-Atlantique. Ce mouvement à gauche se manifeste dans le contexte de radicalisation d’une partie importante, populaire, de l’électorat républicain autour de la candidature de Donald Trump. Quelles tendances profondes expliquent cette polarisation de la vie politique américaine ? Quel rapport avec l’élection de Barack Obama et la crise de 2008 ? L’appel de Bernie Sanders à une « révolution politique » trouve un écho favorable dans le pays, pourquoi ? Est-ce durable ?

Qui est Bernie Sanders ? Comment expliquer la jeunesse de ses soutiens ?

Lire la suite : http://www.gabrielperi.fr/elections-aux-etats-unis-de-quoi-et-de-qui-bernie-sanders-est-il-lexpression.html

Partenariats : Socialismes africains, socialismes en AfriqueLa fondation Gabriel Péri est partenaire du colloque organisé par le Centre d’histoire sociale du XXème siècle, l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, l’IMAF et de nombreux partenaires, à Paris,
du mercredi 6 au samedi 9 avril 2016.

Présentation :
Les temps sont venus de donner aux socialismes africains et/ou aux socialismes en Afrique la place qui leur revient dans l’historiographie générale du socialisme et dans celle de l’Afrique. Les histoires du, des socialismes, qu’ils soient ou non « réels », oublient systématiquement l’Afrique. Or il a existé en Afrique de très nombreux régimes qui se sont réclamé du socialisme « africain », ou « scientifique », de même que de très nombreux opposants qui ont d’autant plus cherché leur inspiration dans les outils théoriques construits par le marxisme – ou sa vulgate –, que celui-ci leur semblait proposer une théorie de l’histoire favorable à l’avenir des peuples colonisés ou anciennement colonisés. Des modèles prétendant au « socialisme réel » existaient, qu’il s’agisse de l’URSS, des démocraties populaires, de la Chine ou Cuba, offrant aussi une panoplie réelle ou fantasmée, prête à servir. Au-delà de ces exemples étrangers que l’on a parfois essayé d’imiter ou d’adapter, il y eut aussi l’invention d’un socialisme qui se voulait adapté à l’Afrique, réfléchissant les spécificités du continent, et puisant dans son passé ses racines théoriques.

Ce colloque s’intéresse à toute l’Afrique, du Nord et du Sud, de l’Est et de l’Ouest, anglophone, francophone ou lusophone. Il est résolument interdisciplinaire.

Contact : Françoise Blum
mail : fblum@univ-paris1.fr
Tel : 06 64 67 66 57
Web : http://histoire-sociale.univ-paris1.fr/

Le colloque bénéficiera d’une traduction simultanée.

LIEUX

• 7 & 8 avril • CNRS • site Pouchet, 59 rue Pouchet, 75017 Paris
métro : ligne 13 station Brochant • bus : ligne 66 arrêt La Jonquière •
ligne 31 arrêt Guy Môquet ou Brochant-Cardinet • RER C station Porte de Clichy

• 7 avril (soir) • Maison des métallos, 94, rue Jean-Pierre-Timbaud, 75011 Paris
métro : ligne 2 station Couronnes • ligne 3 station Parmentier

• 9 avril • Université Paris 1 • site Panthéon, 12 place du Panthéon, 75005 Paris
RER B station Luxembourg • bus : lignes 21, 27, 38, 82, 84, 85, 89 arrêt Luxembourg

Programme détaillé sur : http://www.gabrielperi.fr/socialismes-africains,-socialismes-en-afrique.html 

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