fév 20, 2013

Seminaire CERMA Racialisation, Etat-Nation et Capitalisme en Amérique Latine et Ailleurs (II) Dominations / Résistances27 Fevrier, Paris)

Avec Pablo PERAZZI (CONICET, Universidad de Buenos Aires) : «De ‘autoctonistas’, difusionistas e ‘hiper-difusionistas’: nacionalismo y americanismo en la antropología argentina »

Pablo Perazzi es Doctor en Antropología Social de la Universidad de Buenos Aires. Se desempeña como docente regular de Historia de la Teoría Antropológica y profesor adjunto de seminarios sobre Historia de la Antropología Argentina y Latinoamericana en la Facultad de Filosofía y Letras de la UBA. Desde 2010 ejerce como Investigador de Carrera del Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas (CONICET). Ha publicado diversos artículos sobre su especialidad en revistas científicas nacionales e internacionales y el libro Hermenéutica de la barbarie. Una historia de la antropología en Buenos Aires, 1935-1966.

RESUMEN DE LA PRESENTACION

Las teorías sobre el poblamiento americano han dominado la agenda antropológica argentina desde mediados del siglo XIX hasta bien avanzado el siglo XX. Inspiradas en fuentes, técnicas y saberes de naturaleza diversa, cultivadas por legos y profanos, las ideas acerca del acervo racial y cultural de los primitivos habitantes del nuevo mundo han dado lugar a complejas formulaciones que, aunque respaldadas por la pretendida neutralidad del discurso científico, se inscribieron en disputas que excedían ampliamente los muros de museos, bibliotecas y laboratorios. Detrás de las hipótesis americanistas se alzaba un vasto campo de tensiones entre la cultura letrada y el delineamiento de la identidad nacional. En un clima gobernado por las disputas sobre el pasado patrio y la definición de la nacionalidad, no era improbable la emergencia de teorías que, a menudo extralimitando la evidencia probatoria, buscaran anudar los cimientos nacionales con pueblos y civilizaciones varias veces milenarios. En ese sentido, el propósito de la presenta exposición es abordar dichas disputas y tensiones a través de las principales teorías que alimentaron el debate americanista en el medio rioplatense: desde el autoctonismo hasta el inmigracionismo, desde el arioperuanismo hasta el Imperio de las Llanuras.

Salon des Amériques de l’Institut des Amériques (IDA) 8ème étage
175 rue du Chevaleret, 75013, Paris, Métro Chevaleret de 10:30 – 12:30

fév 20, 2013

Vient de paraître : « Fragments d’une guerre inachevée? Les entrepreneurs taiwanais et la partition de la Chine » de Françoise Mengin

La République de Chine, repliée à Taiwan en 1949, a conservé une indépendance de fait. Mais les autorités communistes n’ont pas renoncé à réunifier formellement l’île à la Chine populaire. Outre une pression militaire croissante, la politique irrédentiste de Pékin a tablé sur l’intégration économique entre les deux rives du détroit de Formose. Répondant aussitôt aux mesures préférentielles qui leur ont été offertes, les industriels insulaires ont opéré un vaste mouvement de délocalisation de leurs activités sur le continent. Fragments d’une nation déchirée par des revendications contradictoires, ces entrepreneurs sont les vecteurs d’une unité de la Chine imposée par le Parti communiste, voulue mais différée par le Parti nationaliste, rejetée par les partis indépendantistes taiwanais.
Dans cette guerre civile inachevée, les logiques sociales s’imbriquent au conflit de souveraineté. Les acteurs transnationaux ont pu s’affranchir d’une législation sécuritaire ou tirer parti des modes de gouvernement de la Chine des réformes pour reconfigurer, à terme, la scène démocratique taiwanaise et, par là même, les rapports entre Pékin et Taipei.
Par son irréductible spécificité, la question de Taiwan éclaire le rapport de l’économique au politique : une opération fictive de dépolitisation a présidé à l’ouverture de la frontière sino-taiwanaise afin d’ajourner toute résolution du conflit de souveraineté. Renouvelant la sociologie et l’économie politique des relations internationales, l’auteur apporte un éclairage aigu sur l’un des différends territoriaux qui font de l’Asie orientale une zone de risques majeurs.

ISBN : 978-2-8111-0852-6

Paris, Karthala, collection Recherches Internationales, 2013, 519 p.

fév 20, 2013

Séminaire CREDA « Chamaniser l’écriture » (22 février, Paris)

A 14H à l’IHEAL salle Paul Rivet avec Silvia Macedo et Andrea Luz Gutierrez

Pour mémoire: le séminaire est obligatoire pour les étudiants de M2R en anthropologie et en sociologie. Il est librement ouvert à toute personne intéressée.
Le programme complet des séances à venir ICI.

 

 

 

fév 18, 2013

La newsletter du CERI – Février 2013

EDITO :
Par Roland Marchal, chargé de recherche (CNRS) au CERI

Après avoir pendant de longs mois expliqué pourquoi la France ne pouvait intervenir directement au Mali, François Hollande a opté pour le contraire. Curieusement, mais la France est la France, le débat politique national ne porte pas sur la valeur des arguments mis en avant alors et aujourd’hui. Qu’en est-il de cette absolue priorité qu’il fallait laisser aux Africains dans la gestion de leur continent ? Qu’en est-il de ces buts de guerre qui passent allégrement dans la bouche de nos dirigeants de la restauration de la souveraineté territoriale malienne à la lutte contre le terrorisme international ? Qu’en est-il d’une guerre sans cadavres pendant plusieurs semaines, proprement virtuelle, gagnée en si peu de jours qu’on ose à peine se souvenir que Bamako tremblait à l’annonce d’une offensive djihadiste ?

Trois grandes séries de questions se posent maintenant. La première tient à la capacité des mouvements armés au nord Mali de se réorganiser au lendemain d’une contre-offensive menée tambour battant par les forces françaises (les forces maliennes étant convoquées pour les conférences de presse). La reprise des villes a été rapide mais on sait aujourd’hui qu’elle était attendue par les insurgés. Les dirigeants français, et plus encore nos troupes, vont devoir admettre que les mouvements armés qu’ils combattent ne sont pas dénués de soutiens sociaux et ne relèvent pas toujours ou fondamentalement de la criminalité organisée comme ils s’en sont trop vite convaincus. Si ces groupes faisaient preuve demain d’une plus grande modération vis-à-vis des religiosités locales, leur popularité irait croissante au nord mais aussi au sud du pays. Il n’est d’ailleurs pas sûr que les membres survivants de ces groupes armés concentrent à l’avenir leurs forces sur le seul Mali : la tentation sera grande, comme on le voit dans la Corne de l’Afrique, d’ouvrir de nouveaux fronts dans le même environnement régional. D’autres acteurs, hostiles à la France, comme les réseaux qaddafistes pourraient également se mobiliser contre une intervention rapidement cataloguée de française. Reste que Paris est aujourd’hui devenu comptable de tous les dysfonctionnement de l’intervention internationale.

La seconde tient à la définition d’une solution. Certains responsables internationaux se limitent à la seule composante touarègue de cette crise, en oubliant combien la dimension régionale des mouvements islamistes armés est conséquente. D’autres réduisent l’impasse politique à Bamako aux seules conséquences du coup d’état de mars 2012. Il est essentiel de souligner que le Mali fait face à une crise systémique de son fonctionnement politique et que le conflit au Nord n’en est, à bien des égards, que le révélateur. L’approche française, pour ce qu’elle se donne à voir, est profondément déséquilibrée privilégiant un versant militaire où les victoires s’accumulent mais faisant preuve d’un grand immobilisme (sans doute par impuissance) sur le versant politique. Rien n’illustre mieux ce malaise grandissant que les affrontements entre militaires maliens à Bamako au début février alors que les forces internationales font leur travail au nord. L’absence de message politique fort, malgré une profusion d’envoyés spéciaux, et l’obstination à avoir des élections avant la fin juillet 2013 risquent donc de conduire à la restauration d’un système politique, jugé obsolète par une grande majorité des Maliens (au nord et au sud) et générateur de conflits.

La troisième interrogation est récurrente dans toutes les grandes interventions internationales depuis 20 ans. L’environnement régional du Mali a joué un rôle important dans le déclenchement du conflit au nord, dans l’incapacité à avancer vers une solution institutionnelle à Bamako et dans la procrastination d’une bonne partie de la communauté internationale. On reste dans l’expectative pour savoir comment ces états vont réagir dans les mois qui viennent. L’Algérie et la Libye ont des intérêts paradoxaux (mieux vaut les djihadistes au nord Mali que chez nous), certains doivent soudain afficher une solidarité dont les ambiguïtés sont connues (Côte d’Ivoire et Burkina Faso notamment) et d’autres négocient dans leur association militaire à la France au nord Mali une rente diplomatique qui les protégera de toute critique sur leur gouvernance intérieure (Tchad et Nigéria).

Quelle que soit l’opinion que l’on peut avoir sur l’intervention française, celle-ci met en porte-à-faux une nouvelle fois la réalité des interventions avec des politiques de sécurité qui, en Europe et en Afrique, ont fait la preuve de leur inutilité (« battlegroup » versus Architecture africaine de paix et de sécurité). Pourquoi persévérer dans l’erreur au lieu de remettre à plat ces dossiers importants ?

VIENT DE PARAITRE :

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Françoise Mengin, Fragments d’une guerre inachevée? Les entrepreneurs taiwanais et la partition de la Chine

Paris, Karthala, collection Recherches Internationales, 2013, 519 p.

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« Le mur fiscal » et au-delà : le deuxième mandat du président Obama

Le Dossier du CERI, sous la direction de Denis Lacorne, février 2013

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Riva Kastoryano (dir.), Turkey between Nationalism and Globalization

Londres, Routledge, collection Routledge Series on Global Order Studies, 2013, 228 p.

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Bertrand Badie, Quand l’Histoire commence

Paris, CNRS Editions, 2013, 63 p.

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François Bafoil, Resilient States from a Comparative Regional Perspective. Central and Eastern Europe and Southeast Asia

Singapour-New York, World Scientific Publishing, 2013, 360 p.

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Didier Bigo, Sergio Carrera, Elspeth Guild (dir.), Foreigners, Refugees or Minorities?: Rethinking People in the Context of Border Controls and Visas

Londres, Ashgate, 2013, 274 p.

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Hélène Combes et Gabriel Vommaro (dir.), « Clientélisme en situation. Échanges politiques, politisation et conflits moraux »

Dossier de la revue Cahiers des Amériques latines, n°69, 2012/1, 163 p.

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Jean-Pierre Filiu, Le Nouveau Moyen-Orient, les peuples à l’heure de la révolution syrienne

Paris, Fayard, 2013, 408 p.

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Catherine Wihtol de Wenden, La question migratoire au XXe siècle : Migrants, réfugiés et relations internationales

Paris, Presses de Sciences Po, seconde édition, 2013, 272 p.

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Elise Massicard et Nicole Watts (dir.), Negotiating Political Power in Turkey. Breaking up the Party

Londres, Routledge, collection Routledge Studies in Middle Eastern Politics, 2012, 208 p.

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Camille Laporte, L’aide au développement en Corée du Nord: efficacité et évaluation

Paris, L’Harmattan, 2013, 192 p.

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Marie-Françoise Durand, Thomas Ansart, Philippe Copinschi, Benoît Martin, Patrice Mitrano, Delphine Placidi-Frot, Atlas de la mondialisation. Comprendre l’espace mondial contemporain – Dossier spécial États-Unis

Paris, Presses de Sciences Po, 2013, 198 p.

COUP D’ŒIL :

Collection « Global Order Studies » aux éditions Routledge
Cette collection a succédé en 2011 à Europe in the World qui avait été créée dans le cadre du réseau d’excellence européen GARNET (Régionalisation et régulation dans la gouvernance mondiale). Global Order Studies, dirigée par David Armstrong (Université d’Exeter) et Karoline Postel-Vinay (CERI), est consacrée aux questions qui ont pris forme à l’échelle globale depuis le début du siècle et constituent de nouvelles données pour la coopération et la régulation internationales. En font notamment partie, la relativisation de la domination occidentale et l’impact des puissances dites émergentes, les changements d’échelles et de sites de la gouvernance mondiale, la redéfinition de la justice globale, et plus généralement les recompositions de la scène internationale.
Le premier titre paru de cette collection est Redefining Regional Power in International Relations. Indian and South African Perspectives par Myriam Prys.
Vient de paraître : Turkey between Nationalism and Globalization, sous la direction de Riva Kastoryano.

BREVES :

« Le Mexique après l’alternance : état des lieux et perspectives »
Le reportage vidéo du colloque organisé sous la responsabilité scientifique de David Recondo les 31 janvier et 1 février est disponible en ligne sur Viméo.

fév 18, 2013

Portes ouvertes IHEAL (28 février, Paris)

L’Institut des Hautes Etudes de l’Amérique latine (Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3) organise des portes ouvertes le jeudi 28 février 2013 de 14h à 17h [28 rue Saint Guillaume 75007 Paris]

Ces portes ouvertes seront l’occasion de :
– connaître les diplômes délivrés à l’IHEAL (DELA, Master Recherche, Master Professionnel, Doctorat) et leurs débouchés professionnels
– découvrir les possibilités de mobilité internationale (échanges universitaires, stages, terrains de recherche)
– rencontrer les équipes pédagogiques et les étudiants
– visiter la bibliothèque la plus importante de France sur l’Amérique latine

Fondé en 1954, l’IHEAL est un centre pluridisciplinaire spécialisé dans les études sur l’Amérique latine en sciences humaines et sociales. En partenariat avec le CREDA, Centre de Recherche Et de Documentation des Amériques (UMR7227), il est l’une des institutions les plus importantes en Europe pour la formation, la recherche, la documentation (Bibliothèque Pierre Monbeig – 100 000 ouvrages), l’édition (Cahiers des Amériques latines, Confins), la diffusion scientifique (la Gazette du 28) et la coopération internationale avec l’Amérique latine.

Plus de détails sur l’offre de formation dans le livret de l’Etudiant.
Confirmation votre présence à cette journée « portes ouvertes », à l’adresse : iheal.scolarite@univ-paris3.fr

fév 18, 2013

Appel à communication Seminario Internacional (Huatulco, Oaxaca): Nuevos Rostros de la Migración

Vous trouverez ICI l’appel à communication du I Seminario Internacional sur la migration.

« Los nuevos rostros de la migración », convoqué par el Instituto de Comunicación de l’Universidad del Mar aura lieu à Huatulco, Oaxaca le prochain 29, 30 et 31 mai 2013.

fév 15, 2013

FORMATIONS AUX NOUVELLES REGLES EUROPEAID, Avril 2013

Les formations « OBTENIR UNE SUBVENTION EUROPEAID : tout savoir sur les nouvelles règles 2013″ des 8 et 9 avril 2013
et

« GERER UN CONTRAT DE SUBVENTIONS EUROPEAID :
tout savoir sur les nouvelles règles 2013« 
des 10 et 11 avril 2013
seront animées par
Filipe Santos,
responsable des subventions à EuropeAid (Commission européenne) de 2000 à 2007 à Aix en Provence.

Vous avez la possibilité de vous inscrire à la formation des 8 et 9 avril et/ou à la formation des 10 et 11 avril.

fév 15, 2013

Invitation fondation Gabriel Peri (19, 26 et 27 février, Paris)

« Nous avons le choix »
Mardi 19 février 2013, à 18h30 – Louise Gaxie et Alain Obadia présenteront leur livre « Nous avons le choix !« , publié par la Fondation Gabriel Péri.
Avant d’écrire ce livre ensemble, Louise Gaxie et Alain Obadia se sont beaucoup parlé. Une génération les sépare. Leurs parcours et leurs expériences sont très différents… Mais tous les deux ne veulent pas « s’en laisser conter ». Ils partagent la conviction que la politique n’est pas impuissante, et qu’elle peut modifier un cours des choses réputé inéluctable.En savoir plus

Cycle de conférences sur l’espace sahélo-saharien
Prochaine séance : Géopolitique des ressources et conflits au Sahel
Mardi 26 février 2013, 14h15 – 18h
La fondation Gabriel Péri s’est engagée depuis le début de l’année 2012 dans un travail de réflexion sur les problématiques de sécurité, de paix et de développement dans la région ouest africaine et plus particulièrement sahélienne. En savoir plus

La Chine après le 18e congrès : changement ou continuité ?
Mercredi 27 février 2012, de 18h30 à 20h30
Rencontre avec Dominique Bari, journaliste, Zheng Ruolin, correspondant du quotidien shanghaien Wen Hui Bao, et Jean-Claude Delaunay, économiste.
Lors de son 18e congrès en novembre 2012, le Parti communiste chinois s’est doté d’une nouvelle direction. Xi Jinping qui a accédé au poste de secrétaire général du PCC devrait assurer ses fonctions le temps de deux mandats de cinq ans à la tête de la 2e puissance économique du monde. En savoir plus



 

 

fév 15, 2013

Change of Time, William Kentridge in conversation with Sarah Nuttall (21 février, Johannesbourg)

Please note that the time for this event has been changed to 4:30 for 5:00pm, Thursday February 21, in order not to conflict with Terry Kurgan’s launch of Hotel Yeoville at Art on Paper (http://wiser.wits.ac.za/sites/all/modules/civicrm/extern/url.php?u=235&qid=50872).

The Wits Institute for Social and Economic Research (WiSER) presents : WILLIAM KENTRIDGE In Conversation with SARAH NUTTALL

Photo of Kentridge
“I am interested in a political art, that is to say an art of ambiguity, contradiction, uncompleted gestures and uncertain endings.  An art (and a politics) in which optimism is kept in check and nihilism at bay”, says William Kentridge in a recent interview.

Kentridge’s output fluently shifts across such media as drawing, film, collage prints, sculpture, and stage sets and theatre. If his work resonates the South African experience and the city he lives in, Johannesburg, it also draws on a variety of European sources (literature, opera, early cinema). His most recent work  (The Nose, Vertical Thinking, The Refusal of Time) is characterized by profound conceptual changes and novel ways of connecting the visual arts, cinema, the performing arts and music. In this conversation with cultural critic and Director of WISER, Sarah Nuttall, he will explore the politics of form and the forms of the political in his latest creations.

Thursday, February 21
*** Changed to 4:30 for 5pm ***
WISER Seminar Room, 6th Floor, Richard Ward Building,
East Campus, Wits University

Refreshments will be served

Please RSVP to Najibha.Deshmukh@wits.ac.za before noon on February 19.

fév 15, 2013

Journée de la femme « Paroles de Maliennes » (8 mars, Paris)

A l’occasion de la journée internationale de la femme, l’AIVM  en partenariat avec l’AJCRPD, les MFR, les associations maliennes: Ty Dounia, ASSOREMA, AEESMAR avec le soutien du Conseil Général organise la journée internationale de la femme « PAROLES DE MALIENNES » le vendredi 8 mars 2013 à 18h à l’auditorium Paul Ricœur aux archives départementales.

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