déc 18, 2012

Appel à communication – Conférence Internationale en Politiques Publiques

Vous trouverez ici l’appel à communication pour le panel « Public Policies in Latin America and the Cognitive Approach: Paradigms, Actors and Coalitions » qui aura lieu au sein de la « 1ère Conférence Internationale en Politiques Publiques », organisée par l’IPSA et l’AFSP le 26-28 juin 2013 à Grenoble.

Les propositions sont à retourner pour le 31 janvier au plus tard à l’adresse suivante: melina.rocha@fgv.br, carlatomazini@gmail.com , avec le titre, CV et un résumé d’environ 300 mots.
Vous pouvez trouver les informations complètes sur la conférence, ce panel et l’appel à communications à partir du lien suivant: http://www.icpublicpolicy.org/spip.php?article23#DECISION
déc 18, 2012

Journal Autrepart – Call for paper for issue number 68 – The money of migration

Please find here a call for paper for Issue number 68 of the Journal /Autrepart/ on « *The money of migration*« .

Call for papers – The money of migration

déc 18, 2012

Invitacio groupe de reflexion sur la Colombie (20 décembre, Paris)

Pour la dernière réunion de cette année civile, le Groupe de Réflexion sur la Colombie a le plaisir de vous inviter à une video-conference avec Max Yuri Gil Ramirez. Sociologue et magister en Science Politique de l’Université d’Antioquia, à Medellin, où il est chargé de cours. Actuel directeur de l’ONG « Corporación Región », ce grand connaisseur du conflit urbain nous présentera quelques apparts de son travail  « Medellin: Cambios y continuidades en las hegemonías criminales 1993-2012 ».

Institut des Amériques (Salle Tocqueville) 175 rue de Chevaleret 8ème étage 750013 Jeudi 20 décembre 18 :00 heures

déc 18, 2012

The Directory of African Foundations 2013

This newly revised directory of foundations, trusts, charitableand grant-making NGO’s provides a comprehensive picture of foundation activity in Africa.

This comprehensive new directory lists every major national and international foundations, NGOs and other charitable and grant-making organizations located throughout Africa.

All of the major established foundations and NGOs are included, as well as some of the less well-known grant-making organizations. Presenting names and contact details for hundreds of institutions, this new edition is the most comprehensive and up to date information on this growing sector.

Entries:

* Entries are arranged alphabetically by country with main foundation centres/co-ordinating bodies listed at the beginning of each chapter, followed by the charities, NGO’s and foundations.

* Each entry contains the institution’s name, postal, internet and e-mail addresses, telephone and fax numbers, together with date of foundation, and details of its function, activities, restrictions on grants, geographical area of activity, finances, publications and key executives where available.

* Includes an index of foundations, by geographical area of operations and by main activities.

* A wide range of activity is covered including aid to less developed countries, the environment, education, the arts and humanities, and medicine and health.

* Includes information on foundation centres and co-ordinating bodies.

From Egypt to South Africa, Tanzania to Senegal, the Directory would be an important reference resource to organizations, public and academic libraries, NGOs, charities and other grant-making and grant-seeking organizations and institutions concerned with or interested in the work of foundations throughout Africa.

6th Edition. Published January 2013.

Book,CD-Rom or PDF Edition

To purchase your copy of the The Directory of African Foundations 2013

please fill out this Order Form and return it to :

ASIA PACIFIC INFOSERV PTY LTD GPO BOX 2987 SYDNEY 2001 AUSTRALIA

Tel: 61 2 4934.6290 Fax: 61 2 4934.3692

E-mail: aapi@aapi.com.au Website: http://www.api-publishing.com/

déc 13, 2012

La Newsletter du CERI – Décembre 2012

« Le 18e Congrès du PCC : un Congrès plus décisif que prévu »

Edito :

Par Jean-Luc Domenach, directeur de recherche au CERI

La Chine est encore un sujet à polémiques mais, pour une fois, ses adversaires et ses thuriféraires étaient au fond d’accord : pour eux, il ne se passerait rien durant la grande messe quinquennale qui s’est tenue à Pékin du 8 au 14 novembre 2012. En effet, le successeur de Hu Jintao était déjà connu, les effets de l’affaire Bo Xilai y seraient soigneusement tus et la démocratie n’y ferait pas de progrès.

Ils n’avaient pas totalement tort car, parfaitement organisé comme les précédents, ce Congrès a donné l’image de l’unité et de la discipline, et les slogans qu’il a adoptés – y compris contre la corruption… – constituent un recueil de vœux pieux assez complet. Il n’est guère approprié de se moquer car après tout c’est bien ce régime, avec tous ses mensonges, qui a conduit la Chine au deuxième rang économique du monde en trente ans. En outre, la nomination des deux dirigeants prévus aux premiers postes – Xi Jinping et Li Keqiang – montre bien qu’une fois de plus le souci d’unité a prévalu sur les disputes factionnelles, aussi violentes celles-ci soient-elles désormais. Au total, l’impression qui ressort est celle de la continuité, ce qui est la grande force d’une propagande quand tout va bien dans l’ensemble. Pour toutes ces raisons, les media occidentaux ont en général reporté leur attention ailleurs dés le lendemain de l’ouverture du Congrès.

C’était pourtant une erreur car la règle en régime communiste est qu’une assemblée n’est jamais terminée avant le départ de ses participants. En l’occurrence, les prévisions d’une succession à la fois modérée et équilibrée ont été nettement infirmées. En effet, la victoire de Xi Jinping est beaucoup plus large que prévu : non seulement il reçoit d’emblée la direction de l’armée (ce que Hu Jintao avait du attendre de longs mois), mais le nombre de ses partisans est également plus important que prévu (quatre contre deux), et surtout le nombre des « fils de princes » parmi eux et des anciens ou actuels maires de très grandes villes – quatre également – est un fait essentiel et inquiétant. En effet, il donne à penser que les efforts de Hu Jintao pour équilibrer les origines géographiques et sociales des dirigeants ont été abandonnés ou réduits.

Mais la question est plus vaste : elle est politique. Appuyé sur de nombreux experts, Hu Jintao s’était employé à rééquilibrer le modèle chinois. Sans rien céder des pouvoirs du Parti, il s’agissait d’en contrôler l’exercice et de promouvoir une « harmonie » à la fois géographique, sociale, voire même morale. Une nouvelle orientation économique soutenait cet objectif. Devant les difficultés rencontrées par des exportations chinoises moins compétitives qu’avant dans des marchés occidentaux déclinants, l’idée était de développer une économie de consommation qui deviendrait progressivement le deuxième moteur de la prospérité chinoise. Appuyée sur des politiques sociales et sur un redéploiement géographique des investissements, celle-ci équilibrerait la puissance des grands groupes exportateurs des provinces côtières et faciliterait le passage progressif à une croissance plus mesurée comme à une société plus apaisée.

Les changements d’hommes décidés à la fin du Congrès, sous la pression de l’ancien président Jiang Zemin et de quelques autres « immortels », conduisent à se demander si le choix n’a pas été repoussé. A l’exception de celle du futur premier ministre Li Keqiang et du futur patron de la propagande, toutes les biographies fleurent bon le business, le vrai, le grand, notamment celles de Yu Zhengsheng (fils d’un ancien mari de l’épouse de Mao mais aussi maire de Shanghai et lié aux milieux d’affaires taiwanais) et de Wang Qishan (un ancien banquier). Ce ne sont pas, a priori, des personnages obsédés par le sort des plus pauvres.

D’un côté, c’est vrai, ce sont le plus souvent des personnages compétents, et l’on voit bien que cette compétence les conduira, ce qui n’est pas absurde, à profiter aussi longtemps que possible des ressources de compétitivité qui se trouvent encore dans les réserves de main d’œuvre des provinces de l’intérieur. D’un autre côté, on voit mal cette équipe s’attaquer aux deux grands maux de la société chinoise – l’inégalité et la corruption – et cela, car elle est à la tête d’une caste qui en profite. Or, s’il est intellectuellement très risqué d’imaginer un vaste mouvement démocratique, la société chinoise est de plus en plus rétive comme le montrent les « affaires » qui se succèdent sans cesse.

On comprend bien que la nouvelle équipe compte, comme par le passé, en compenser la menace par le maintien d’une croissance rapide – en fait, plus de 7%. Y parviendra-t-elle ? C’est la question, et l’on comprend que la qualité des statistiques chinoises soit interrogée par les temps qui courent…

http://www.sciencespo.fr/newsletter/archive-6yin6t36wa.html

déc 13, 2012

Séminaire : « Circulations des cultures d’opposition : mouvements politiques et sociaux en Afrique et à Madagascar » (20 décembre, Paris)

A 17h30 au CHS (9 rue Malher 75004 Paris, 6 eme étage fond du couloir). Avec :

Romain Tiquet et Camille Evrard sur le thème :  « La mise en place d’une coopération française de sécurité et de défense en Afrique de l’Ouest : carrières et itinéraires croisés dans la police et l’armée à travers les Indépendances ».

déc 13, 2012

Sciences Po-CERI: séminaire « India and human rights at the United Nations » (8 janvier, Paris)

Séminaire organisé en collaboration avec le CEIAS

avec

Rob Jenkins, professeur de science politique à Hunter College et directeur adjoint du Ralph Bunche Institute for International Studies, tous deux à la City University of New York

Spécialiste de l’Inde contemporaine, Rob Jenkins travaille sur les rapports État-société, notamment sur l’action publique et sur les mouvements sociaux. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dont Democratic Politics and Economic Reforms in India (Cambridge University Press, 1999), consacré à l’étude des processus politiques sous-tendant les réformes libérales en Inde. Son analyse très fine du fonctionnement de la démocratie, y compris son côté sombre, et des pratiques furtives des hommes politiques, est devenue une référence. Depuis, il a poursuivi ses recherches sur la démocratie indienne en développant des thématiques diverses dont on peut citer en particulier celles sur les mouvements de la société civile pour le droit à l’information et contre la corruption (cf. Reinventing Accountability: Making Democracy Work for Human Development (Palgrave/Macmillan, 2005, co-écrit avec AM Goetz). Tout dernièrement il a publié Peacebuilding: From Concept to Commission (Routledge 2012).

Présidence : Christophe Jaffrelot, CNRS/CERI-Sciences Po

Responsable scientifique : Christophe Jaffrelot, CNRS/CERI-Sciences Po

A 15h, CERI-56 rue Jacob, 75006 Paris / Salle Jean Monnet

Entrée dans la mesure des places disponibles.

déc 13, 2012

séminaire ERSIPAL : Nation et altérité au Mexique. Administrer les migrants afro-béliziens dans le Territoire de Quintana Roo, 1902-1940

Elisabeth Cunin (URMIS-IRD) : « Nation et altérité au Mexique. Administrer les migrants afro-béliziens dans le Territoire de Quintana Roo, 1902-1940″

Discutant  : Dominique Vidal (URMIS, Université Paris7)

La naissance du Territoire de Quintana Roo, au sud-est du Mexique, en 1902, s?inscrit dans une triple logique : matérialisation de la frontière avec le Belize, dénouement de la Guerre des Castes, contrôle de l?économie régionale. L?un des enjeux récurrents du Territoire est alors celui de son absence de population et des mesures à mettre en ?uvre pour attirer de nouveaux habitants. Mais aussi pour définir ces habitants. Dans cette région périphérique, le peuplement constitue un enjeu stratégique d?affirmation de la souveraineté nationale ; il manifeste l?affirmation d?un biopouvoir ? et de ses limites ? amenant à imposer les caractéristiques raciales et nationales de la population.

Cette communication vise à articuler deux réflexions principales : l?appartenance du Territoire de Quintana Roo aux sociétés post-esclavagistes marquées par les migrations de travailleurs afrodescendants ; la naissance d?une nouvelle entité politico-administrative et ce qu?elle nous apprend sur la construction du « nous » national, l?inclusion/exclusion des « autres » (noirs et étrangers) et l?idéologie du métissage qui sous-tend le récit national.

Equipe de Recherche Société-Identité-Pouvoirs en Amérique Latine

http://www.iheal.univ-paris3.fr/spip.php?rubrique9

(CREDAL ? IHEAL Université Paris III Sorbonne Nouvelle)

IHEAL – 28 rue Saint Guillaume 75007 – 5ème étage

Métros Sèvres Babylone, Rue du Bac, St Germain des près

Séminaire organisé par Capucine Boidin, Carine Chavarochette et David Dumoulin

 

déc 13, 2012

Séminaire : « L’empire portugais, entre l’Amérique, l’Afrique et l’Asie : Perspectives coloniales et post-coloniales (XVe-XXIe siècles) » (17 décembre, Paris)2

Séminaire interdisciplinaire organisé par la Délégation en France de la Fondation Calouste Gulbenkian, l’École française d’Extrême-Orient, l’École pratique des hautes études, l’École des hautes études en sciences sociales

Le lundi 17 décembre de 16h à 18h : Evergton de Sousa de l’Université fédérale de Bahia, Brésil interviendra sur : « Sorcellerie et catholicisme illustré dans le monde portugais »

Délégation en France de la Fondation Calouste Gulbenkian. 39, Boulevard de la Tour-Maubourg, 75007. M° La-Tour Maubourg



Archives

Newsletter