Actualités de "mai, 2013"
mai 24, 2013

Groupe de réflexion sur le Brésil Contemporain (29 mai, Paris)

Groupe de Réflexion sur le Brésil Contemporain
mercredi 29 mai 2013 à 17h en salle 1 -190 av. de France

Patricia RAMIRO, professeur de sociologie rural à l’UNESP, post-doctorat à l’EHESS

Assentamentos rurais de São Paulo e redes de sociabilidade em transformação. Sobre assentamento. Nova Pontal na região de Pontal do Paranapanema

mai 24, 2013

Colloque international « Frontières affirmées, frontières contestées », (3-4 juin, Paris)

Vous trouvez ci-joint le programme complet et détaillé du colloque international « Frontières affirmées, frontières contestées » qui se tiendra les 3 et 4 juin à l’EHESS, au 105bd boulevard Raspail, amphithéâtre.

Programme.Complet.Colloque.2013.A

mai 24, 2013

Appel à candidature du RFIEA

Pour l’année académique 2014/2015, EURIAS offre 39 résidences de 10 mois dans l’un des 16 instituts d’études avancées européens de Berlin, Bologne, Bruxelles, Budapest, Cambridge, Delmenhorst, Freiburg, Helsinki, Jérusalem, Lyon, Marseille, Paris, Uppsala, Vienne, Wassenaar et Zürich. Il permet aux candidats du monde entier de postuler simultanément auprès de 3 Instituts d’accueil en Europe. Les lauréats bénéficieront des conditions d’accueil et de recherche optimales offertes par les Instituts.

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mai 24, 2013

MANHANA CONFERENCIA DE FERNANDO MIRES EN LA MAISON DE AL (24 mai, Paris)

La MUD FRANCIA,tiene el agrado de invitarles a una conferencia-debate titulada:

« La democracia en Venezuela después del 14 de abril »
Ponente:
FERNANDO MIRES
Profesor emérito
Doctor en ciencias políticas
Comentaristas y moderadores:
Mercedes Vivas, Doctor en sociología
Vladimiro Mujica, Doctor en ciencias
Juan Rafael Pulido, Doctor en sociología

Día y fecha: viernes, 24 de mayo de 2013
Hora: 6:30 pm
Lugar: Maison de l’Amérique Latine
217, boulevard Saint-Germain
Metro: Solférino, línea 12
Autobuses: 63, 68, 69, 73 83, 84, 94
– – – –
Nos permitimos agregar una mini biografía del Profesor Mires para mayor información:
Prof. Dr. (Emérito) Fernando Mires, nacido en Santiago de Chile, Profesor en la Universidad de Oldenburg, Alemania, autor de numerosos artículos y libros sobre filosofía política, política internacional y ciencias sociales, publicados en diversos idiomas. Fernando Mires se diplomó de profesor de historia en Chile en (Universidad de Chile) 1965. 1967-1968 Estudios de Post-Grado (Historia Moderna): Universidad Carolina de Praga. En 1969, fue nombrado Profesor en la Cátedra de Historia de América Latina. Instituto de Sociología, Universidad de Concepción, Chile. En 1974 hubo de abandonar su país como consecuencia del golpe de Estado. En 1975 asumió funciones de docencia y de investigación en el Instituto de Sociología de la Universidad de Oldenburg, Alemania. En 1978 Doctor en Ciencias Económicas y Sociales. En 1991 título de Privat Dozent en el área de Ciencias Políticas, el más alto grado académico que confieren las universidades alemanas. En 1995 fue nombrado Profesor en el Instituto de Ciencias Políticas de la Universidad de Oldenburg, Alemania (Política internacional y Teoría Política). Para ver sus artículos más recientes, buscar en http://polismires.blogspot.com/

mai 24, 2013

Séminaire ADAL (31 mai, Paris)

Séminaire ADAL (Analyse des Discours de l’Amérique Latine)
Vendredi 31 mai 2013 de 14h30 à 17h30
dans la salle B (5e étage) de l’IHEAL (Institut des Hautes Études de l’Amérique Latine)
28 rue Saint Guillaume
75007 Paris
(Métro Saint-Germain-des-Prés, L. 4 – Sèvres-Babylone, L. 10 – Rue du Bac, L. 12)
L’association ADAL a le plaisir de vous inviter à participer à un séminaire sur L’art, le sport et les médias en Argentine, qui se déroulera le vendredi 31 mai 2013 de 14h30 à 17h30, dans la salle B de l’Institut des Hautes Études de l’Amérique Latine (IHEAL).
Nous aurons le plaisir d’accueillir trois intervenants :
–          Cristian Palacios (Université de Buenos Aires – CONICET) : Análisis de los Discursos Cómicos y Humorísticos. El pasaje de lo cómico a lo humorístico en las historietas de Roberto Fontanarrosa (cette intervention sera en espagnol).
–          Lucie Hémeury (IHEAL-CREDA – Paris 3 – Sorbonne Nouvelle) : Sports, médias et péronisme : politiques, discours et représentations du sport de la « Nueva Argentina » (1946-1955)
–          Eugénie Roy (Université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines / Université de Paris 1 – Panthéon Sorbonne) : La caricature politique en cas de crise politique. Étude d’un type de discours en Argentine, à partir des caricatures de D. Paz et Rudy parues en une de Página/12 durant la crise argentine (1999-2004)
mai 24, 2013

La Newsletter du CERI – Mai 2013 // Edito

Pakistan : sous le signe du lion

Par Laurent Gayer, chargé de recherche (CNRS) au CERI

Bravant les menaces des talibans, la canicule et les longues files d’attente, les Pakistanais ont renouvelé leur assemblée nationale et quatre assemblées provinciales le 11 mai. Ces élections ont été entachées par de nombreuses irrégularités (notamment à Karachi) et, dans certaines régions, l’appel au boycott des groupes d’opposition armés a été très suivi (comme au Baloutchistan). Il n’empêche : ces élections marquent une avancée significative sur la voie de la consolidation démocratique au Pakistan. Pour la première fois, un gouvernement civil est parvenu au terme de son mandat et, reconnaissant sa défaite, a pacifiquement cédé le pouvoir à l’opposition. De surcroît, le taux de participation (60 %) a enregistré une très nette hausse par rapport aux scrutins de 2008 (44,4%) et 2002 (41,8 %).

La défaite du Parti du peuple pakistanais (PPP) a été sans appel. Si le parti des Bhutto-Zardari a sauvé la mise dans son bastion du Sindh (où il a remporté 29 des 56 sièges à l’assemblée nationale), il a en revanche été laminé dans le reste du pays. Au Pendjab, la province la plus peuplée, jouant un rôle clé dans toute équation politique au Pakistan (146 sur 261 sièges), le lion a rugi. La Pakistan Muslim League de la famille Sharif – la PML-N, dont le symbole électoral est un lion/tigre, le terme sher désignant ces deux animaux en ourdou – l’a emporté haut la main (116 sur 146 sièges), garantissant à Nawaz Sharif de retrouver pour la troisième fois le poste de Premier ministre. L’outsider de cette élection – l’ex star du cricket Imran Khan, reconverti en histrion islamo-nationaliste – s’est quant à lui imposé dans la province de Khyber Pakhtunkhwa (17 sur 35 sièges) mais pas au-delà, alors qu’il promettait un « tsunami du changement » à l’échelle nationale. Enfin, au Baloutchistan, l’appel au boycott des groupes séparatistes baloutches a bénéficié aux régionalistes pachtounes sans pour autant empêcher la progression de petits partis nationalistes baloutches.

Ces résultats témoignent de la persistance du vote ethnique dans le pays. Chacune des quatre provinces du pays sera ainsi dirigée par des forces régionales, par leur ancrage sinon par leur portage (la PML-N n’a ainsi remporté que 8 sièges hors de son bastion du Pendjab, tandis que le PPP ne remportait que 2 sièges hors du Sindh). Même le Pakistan Tehrik-e-Insaf (PTI) d’Imran Khan fait désormais figure de parti « ethnique », après avoir échoué à mobiliser significativement les électeurs au-delà de la ceinture pachtoune (le PTI n’a remporté que 11 sièges dans le reste du pays).

L’un des premiers défis de Nawaz Sharif consistera à surmonter cette fracture ethno-linguistique pour s’imposer comme un véritable leader national, et non comme le chef de file de la communauté dominante des Pendjabis. Ce n’est pourtant là que l’un des nombreux défis qui attendent le « nouveau » Premier ministre. L’un des plus sérieux est de nature économique : si le Pakistan n’est pas encore entré en récession, sa dette ne cesse de s’alourdir et ses réserves de change ont atteint un niveau critique. L’homme de la rue (aam admi) souffre de l’inflation, tandis que la crise énergétique à laquelle fait face le pays compromet sa croissance à moyen terme, et menace le pays de graves troubles sociaux (les « power riots » se sont ajoutées à la gamme déjà étendue de formes d’action collective violente au cours des dernières années). Nawaz Sharif devra également composer avec une armée en retrait mais toujours très présente dans la gestion de la sécurité intérieure et extérieure du pays. Ses déboires passés avec les militaires (il avait été chassé du pouvoir par le général Musharraf en 1999) pourraient l’inciter à la prudence mais une épreuve de force ne peut cependant être totalement exclue. L’évolution de l’« affaire Musharraf » – l’ancien général-président est actuellement assigné à résidence dans sa villa proche de la capitale, en attente de son jugement dans une série de dossiers remontant à 2007/2008 – fera à cet égard figure de test.

L’entrée en fonction d’un nouveau chef de l’armée de terre et d’un nouveau Chief Justice au cours des prochains mois ne fait qu’entretenir l’incertitude sur ce terrain, et plus généralement sur la poursuite de la « trifurcation » du pouvoir observée au cours des dernières années.

A ces défis institutionnels s’ajoute celui de l’extrémisme religieux. Résolu à relancer le dialogue avec les talibans pakistanais, Nawaz Sharif risque de se heurter à l’intransigeance des multiples factions jihadistes qui composent le Tehrik-e-Taliban Pakistan (TTP – Mouvement des talibans pakistanais) et qui, jusqu’à présent, ont systématiquement mis à profit les phases de négociation avec le gouvernement pour consolider leurs positions et revendiquer une victoire symbolique sur l’Etat impie. Sharif aura également fort à faire pour contenir l’escalade de la violence sectaire. Par pragmatisme, la PMN (N) s’est liée à des groupes radicaux sunnites bien implantés au Pendjab, à l’instar de Ahle Sunnat wal Jamaat (ex-Sipah-e-Sahaba Pakistan). Or, sans être directement impliqués dans les massacres de chiites qui ont ensanglanté le pays au cours des dernières années, ces organisations apportent une caution morale et une armature idéologique aux groupes terroristes à l’origine de ces violences sectaires, tels que le Lashkar-e-Jhangvi (LeJ). Là encore, Nawaz Sharif et son équipe auront fort à faire pour contenir la montée de la polarisation sociale à travers le pays.

http://www.sciencespo.fr/newsletter/archive-738dd291fcc967bc4fc84b688668ef60.html

mai 24, 2013

journée Nouvelles MIGRATIONS EN MÉDITERRANÉE (25 mai, Paris)

La revue « Hommes et Migrations » organise,  en collaboration avec la revue Tiers Monde, l’IPEMED (Institut de prospective économique du monde méditerranéen) et le Fidel (Festival Images de la diversité et de l’égalité), une journée sur le thème :

Nouvelles MIGRATIONS EN MÉDITERRANÉE : Les effets des révolutions arabes et des changements économiques

Le samedi 25 mai De 15h00 à 18h30 à la Cité nationale de l’histoire de l’immigration Palais de la Porte Dorée – Auditorium Philippe Dewitte, 293 avenue Daumesnil – 75012 Paris,

Ainsi, vous pouvez retrouver le programme complet sur le site de la revue :

WWW.HOMMES-ET-MIGRATIONS.FR

mai 24, 2013

Sciences Po-CERI: séminaire « Reporte de economia y desarrollo 2012″ (7 juin, Paris)

Vendredi 7 juin | 10h00

Présentation du rapport « Finances publiques pour le développement » (RED 2012) de la Banque latino-américaine de développement (CAF)
par Pablo Sanguinetti, directeur des recherches socio-économiques à la CAF
Discutant : Jérôme Sgard, professeur au CERI-Sciences Po

Séminaire dans le cadre de lOPALC; se déroulera en anglais.

Responsable scientifique : Olivier Dabène, professeur des universités à Sciences Po, chercheur au CERI et président de l’Opalc

CERI-56 rue Jacob, 75006 Paris / Salle Jean Monnet
Entrée libre dans la limite des places disponibles.

mai 24, 2013

Produitdoc – Le bulletin trimestriel de l’Agence Française de Développement sur les matières premières

PRODUITDOC N° 160 – 1er trimestre 2013

Edito : Au 1er trimestre 2013 les cours des matières premières ont évolué de façon désordonnée et sont globalement en retrait. La seule exception revient au coton qui s’est bien repris en ce début d’année.

La chute la plus spectaculaire est celle du métal précieux. Le cours de l’or est passé sous la barre des 1 600 dollars fin mars consécutivement aux signes, pourtant timides, de l’amélioration de l’économie américaine et du renforcement du dollar. Début avril, la chute des cours s’est encore aggravée.

La dégradation du climat des affaires en Chine, le ralentissement économique en Europe, la croissance plus faible qu’espérée dans les pays émergents ont également fait chuter d’autres matières premières, notamment le pétrole. La surabondance des stocks a fortement impacté les cours du sucre, de l’aluminium et surtout du cuivre. Grosses incertitudes du côté du marché du cacao qui a démarré avec une tendance baissière en raison d’une récolte intermédiaire qui s’annonce plutôt bonne, ainsi que sur le marché du café.

Parmi les matières premières qui ont le mieux résisté figure le nickel qui rencontre un regain d’intérêt de la part des spéculateurs. Les cours du riz et des oléagineux sont stables et ont trouvé un équilibre entre l’offre et la demande. Quant au caoutchouc, il est toujours soutenu par la Chine, son plus grand consommateur.

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